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Lettre
Les cartes-cadeaux du gouvernement Couillard
27 décembre 2014 |
Marcel Perron Neuville, le 25 décembre 2014 ,Québec
Pendant toute l’année, vous pourrez profiter de la « générosité »
du gouvernement en bénéficiant de différentes cartes qui vous seront
offertes. Je vous en présente quelques-unes.
La Carte-confusion du ministre Bolduc. Celle-ci, munie d’une puce
pédagogique, vous permettra de connaître le code secret pour interpréter
sa pensée. Nous en aurons bien besoin pour saisir les subtilités de sa
future politique de l’école du XXIe siècle basée sur l’école, la classe,
l’élève, etc. Tout cela dans un nouvel environnement scolaire où il y
aurait une augmentation du nombre d’élèves par classe, une intégration
sauvage des élèves en difficulté ou en trouble d’apprentissage : une
vraie médecine pédagogique de brousse…
Le ministre Barrette, quant à lui, nous proposera deux cartes. Une
Carte-santé réservée au secteur privé et, pour les autres patients plus
malades ou plus pauvres, une Carte d’hôpital qui donnera accès à toutes
les salles d’attente du système public. Fait à noter, un café sera
offert après chaque tranche de dix heures d’attente : il faut bien
démontrer un peu d’humanité dans un monde où tout se calcule en valeur
de tasse de café…
De son côté, le Conseil du trésor nous lancera dans une grande course
pour faire fructifier son trésor. Sa Carte-gratteux permettra de
connaître tout le répertoire des services publics coupés et leurs
équivalents privés qui prendront la relève à vos frais. De plus, en
ajoutant un dollar, vous pourrez relire toutes les promesses électorales
de la dernière campagne et les raisons pour lesquelles elles sont
demeurées au stade de promesses.
J’aurais pu vous parler de la Carte-famille pour les services de
garde, une carte de dimensions variables selon la grosseur du revenu des
parents, ou de la Carte-vieillesse qui permet au gouvernement de
fouiller dans vos régimes de retraite. Je m’arrête là en vous présentant
la Carte-fidélité Couillard. Celle-ci veut souligner la persévérance de
la classe moyenne ainsi que la générosité des employés du secteur
public, qui donnent sans compter depuis de nombreuses années pour
rétablir les finances publiques. À tous ces gens précieux, le premier
ministre leur promet qu’ils pourront continuer à participer à l’oeuvre
gigantesque de redressement et qu’il leur sera fidèle jusqu’à
l’épuisement de leurs ressources financières.
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Les connexions du groupe Bilderberg à travers la planète
Auteur : Benji | Editeur : Walt | Vendredi, 26 Déc. 2014 - 08h49
Dans un article publié dans le Business Insider en Juin 2012,
nous pouvions découvrir cette représentation graphique du réseau
d’influence du groupe Bilderberg, une pieuvre dont le but est d’étendre
toujours plus son pouvoir à travers la planète, et d’imposer ses choix
pour la mise en place d’un « nouvel ordre mondial », vous savez, ce
délire mégalomaniaque fascisant dont nous avait parlé Sarkozy dans ses
discours…
Le groupe Bilderberg réuni chaque année 120 à 140 personnes
relativement puissantes, quel que soit le domaine, afin de parler de
« politique ». Systématiquement, le secret est entretenu, des forces de
sécurités rendent le lieu de la réunion ultra-sécurisées, les
journalistes sont interdits, aucune fuite n’est tolérée, rendant les
réunions encore plus intrigantes et suspectes. Quand au graphique,
initialement trouvé sur Facebook, il montre les connexions entre les
personnes d’influences, les sociétés, les groupes de presse, les partis
politiques, ainsi que les associations caritatives puisque celles-ci ne
sont pas toujours des plus nettes comme la Fondation Bill et Melinda
Gates pour ne citer qu’elle…
Ce fameux groupe Bilderberg, il est pourtant on ne peut plus
connu et officiel, même les grands médias en parlent en y révélant
certains détails intéressants… Regardez par exemple cet article du
Nouvel Obs de Juin 2013:
Le dîner ne figure pas à l’agenda officiel. L’hôte et ses invités
tiennent à cette discrétion. Début novembre 2011, alors que la crise de
l’euro est à son comble, François Fillon prend le temps de recevoir à
Matignon un groupe obscur d’une trentaine de personnes dont les noms
sont presque tous inconnus du grand public, mais pas des initiés.
Ce soir-là, le Premier ministre de Nicolas Sarkozy planche sur l’état
de la France devant les membres d’un petit club qui ne fait jamais la
une des journaux, mais fascine les obsédés du complot : le Bilderberg. A
croire les « conspirationnistes », ce cercle, fondé en 1954 par un
prince hollandais et un milliardaire américain pour endiguer le
communisme, serait le « vrai gouvernement du monde ». On lui devrait la
victoire de Bill Clinton, la guerre en Irak ou la nomination de Herman
Van Rompuy, président du Conseil européen. Rien de moins !
Gotha politico-financier occidental
Comparés au Bilderberg, d’autres forums internationaux bien plus
célèbres, tels la Trilatérale ou Davos, auraient autant d’influence
qu’une fête de patronage. Les convives de François Fillon sont tous
d’éminents représentants du gotha politico-financier occidental. Sous
les lambris de l’hôtel Matignon, il y a là, entre autres, le patron de
la banque Goldman Sachs, Peter Sutherland, le big boss de la banque
d’affaires Lazard, Ken Jacobs, l’inspirateur des néoconservateurs
américains, Richard Perle, le grand manitou de Shell, Jorma Ollila, le
futur chef du gouvernement italien, Mario Monti, ou la présidente du
Musée d’Art moderne de New York, Marie- Josée Kravis, par ailleurs
épouse du propriétaire d’un fonds d’investissement américain.
Le grand ordonnateur du dîner n’est autre qu’Henri de La Croix, comte
de Castries, PDG du groupe d’assurances Axa et premier Français à
présider le Bilderberg. Petit-fils d’un ministre de la IVe République et
inspecteur des Finances, ce pilier de l’establishment français est
aussi proche de Nicolas Sarkozy que de François Hollande, son camarade
de la promotion Voltaire à l’Ena. On l’a compris : à un tel aréopage,
même le chef du gouvernement de la cinquième puissance mondiale ne peut
refuser l’hospitalité. Ce repas est-il pour autant le signe d’une vaste
conspiration ? « Je ne comprends pas l’hystérie autour du Bilderberg,
s’amuse aujourd’hui François Fillon. Je ne trouve pas qu’il s’y dise des
choses si confidentielles… »
Groupe ultramondain ou confrérie d’influence planétaire ?
Groupe ultramondain ou confrérie d’influence planétaire ? De 6 au 9
juin, le club réunira, à l’abri des regards, sa soixantième et unième
conférence annuelle, dans un palace près de Londres. Comment fonctionne
ce groupe, dont la liste des membres n’est publiée officiellement que
depuis trois ans ? A-t-il le pouvoir qu’on lui prête ? « Le Nouvel
Observateur » a interrogé une trentaine de personnalités françaises et
étrangères qui ont participé aux travaux du Bilderberg. Elles racontent,
souvent pour la première fois, les coulisses de cette institution qui
suscite tant de fantasmes.
« C’est un Davos en plus fermé », dit Jean-Pierre Jouyet, président
de la Caisse des Dépôts et autre camarade de promotion de François
Hollande à l’Ena. Le célèbre forum suisse accueille plus de mille VIP
issus des cinq continents. Le Bilderberg, lui, s’adresse à un cercle
bien plus restreint – cent trente personnes, jamais plus, venues
d’Europe et des Etats-Unis. Les fondateurs du club l’ont voulu ainsi,
discret et transatlantique. Le prince Bernhard des Pays-Bas et David
Rockefeller l’ont créé en 1954, au plus chaud de la guerre froide, avec
un objectif précis : la lutte contre le communisme. La première réunion
se déroule du 29 au 31 mai, en catimini, à Oosterbeek, aux Pays-Bas,
dans un hôtel appelé Bilderberg.
Les participants : de grands leaders politiques et économiques du
Nouveau et du Vieux Continent – tels les Français Guy Mollet, Jean
Monnet et Antoine Pinay. « A l’époque, le but était de convaincre les
dirigeants européens et américains de resserrer leurs liens et de ne pas
baisser la garde face à la puissante Union soviétique », explique
l’ancien ministre des Affaires étrangères Hubert Védrine.
Dans les premières années du Bilderberg, on s’exprime en français et
en anglais, les deux langues officielles de l’Otan. On parle défense de
l’Europe de l’Ouest et contre-propagande. On réfléchit à des actions
communes contre le péril rouge.
Rien ne doit filtrer
Rien ne doit filtrer. David Rockefeller veille. Le richissime
héritier de la Standard Oil est un expert en opérations spéciales. Comme
il le raconte dans ses Mémoires (1), le futur patron de la Chase
Manhattan Bank a fait la guerre dans le renseignement militaire, à
Alger. Francophone, il a poursuivi ses activités d’espion en 1945 à
Paris. Son goût du secret a imprégné l’esprit du club, dont on n’a
découvert l’existence qu’au milieu des années 1960.
L’institution est véritablement sortie de l’ombre en 1976, à
l’occasion d’une grande affaire de corruption qui a durablement terni
son image. On a appris que le prince Bernhard monnayait son prestige
pour favoriser le groupe d’armement Lockheed auprès de l’armée
néerlandaise et que ses conciliabules avec les dirigeants de la firme
américaine avaient notamment lieu en marge de la conférence du
Bilderberg, qu’il présidait depuis vingt ans. « Ce scandale a failli
tuer le club, reconnaît Thierry de Montbrial, patron de l’Institut
français des Relations internationales (Ifri) et membre du Bilderberg
jusqu’à aujourd’hui. On l’a sauvé en remplaçant le prince par l’ancien
Premier ministre britannique, lord Home. » L’odeur de soufre est restée.
En dépit de ce passé controversé, le Bilderberg est toujours le
cercle le plus sélect de l’élite transatlantique. Sa grande affaire
n’est plus le communisme, mais la mondialisation et les défis qu’elle
pose à l’Occident. Au sommet, on trouve un petit cénacle, le comité
directeur, composé de trente personnalités du monde du grand business et
de la géopolitique, celles-là mêmes qui ont dîné à Matignon.
« De l’entregent et une vision planétaire »
« Pour y être coopté, il ne suffit pas d’être patron de Coca-Cola :
il faut avoir de l’entregent et une vision planétaire », explique
l’avant- dernier président du Bilderberg, le flamboyant vicomte Etienne
Davignon, dans son immense bureau qui surplombe la place Royale à
Bruxelles. Lui-même tutoie la terre entière. Ancien commissaire
européen, cet octogénaire belge toujours bronzé et courtois est
administrateur d’une dizaine de multinationales. « Steevie », comme le
surnomment ses amis du gotha, a siégé pendant des décennies au comité
directeur du club, aux côtés de figures historiques, tels le magnat
italien Giovanni Agnelli ou l’ex-secrétaire d’Etat américain Henry
Kissinger, et de personnalités montantes, comme l’avocat Tom Donilon,
qui deviendra conseiller de Barack Obama pour la sécurité... (Tempsreel.nouvelobs.com)
Le but de ce groupe…. Lutter contre la Russie, assez
intéressant quand on voit les événements actuels… Et pour aller encore
un peu plus loin, le petit reportage à la sauce Jesse Ventura sur le groupe Bilderbarg.
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Les 30 leçons de vie d’Albert Einstein
Auteur : Claire C. | Editeur : Walt | Lundi, 22 Déc. 2014 - 13h51

Albert Einstein était plus qu’un simple scientifique. Voici 30 leçons de vie incroyables qui viennent de l’homme lui-même !
1. L’étudiant n’est pas un conteneur que vous devez remplir, mais une torche que vous devez allumer.
2. La croissance intellectuelle devrait commencer à la naissance et ne cesser qu’à la mort.
3. Chacun doit être respecté dans sa personne et nul ne doit être idolâtré.
4. Ne jamais faire quelque chose contre sa conscience même si c’est l’État qui l’ordonne.
5. Si les gens ne sont bons que parce qu’ils craignent un châtiment,
et en espèrent une récompense, alors l’ensemble de l’humanité est
vraiment une bande lamentable.
6. La perfection des moyens et la confusion des buts semblent caractériser notre époque.
7. L’amour est meilleur professeur que l’obligation.
8. Si vous ne pouvez pas l’expliquer simplement, c’est que vous ne l’avez pas suffisamment bien compris.
9. Aucun problème ne peut être résolu sans changer le niveau de conscience qui l’a engendré.
10. Il est plus facile de désintégrer un atome qu’un préjugé.
11. La valeur d’un homme tient dans sa capacité à donner et non dans sa capacité à recevoir.
12. La distinction entre le passé, le présent, le futur n’est qu’une illusion, aussi tenace soit-elle.
13. Je ne crois point, au sens philosophique du terme, à la liberté
de l’homme. Chacun agit non seulement sous une contrainte extérieure,
mais aussi d’après une nécessité intérieure.
14. La logique te mènera de A à Z; L’imagination te mènera partout.
15. La chose la plus incompréhensible sur le monde est qu’il est compréhensible.
16. L’imagination est plus importante que le savoir. Le savoir est limité. L’imagination encercle le monde.
17. Si vous voulez que vos enfants soient intelligents, lisez-leur
des contes de fée. Si vous voulez qu’ils soient plus intelligents,
lisez-leur plus de contes de fée.
18. L’éducation est ce qui reste après qu’on ait oublié ce qu’on a appris à l’école.
19. N’importe quel imbécile peut savoir. Mais comprendre est ce qui importe.
20. Je suis reconnaissant envers ceux qui m’ont dit NON, car c’est grâce à eux que je l’ai fait par moi-même.
21. L’imagination représente tout. C’est un aperçu du futur de votre
vie. L’imagination est bien plus importante que la connaissance.
22. Une personne qui n’a jamais fait d’erreurs n’a jamais pris de risques.
23. L’information n’est pas une connaissance. La seule source de connaissance est l’expérience.
24. Apprendre d’hier, vivre pour aujourd’hui et espérer pour demain.
25. Apprenez les règles du jeu pour vous en servir pour aller plus vite et plus loin.
26. N’essayez pas d’avoir du succès, apportez de la valeur ajoutée
via les connaissances et le talent que vous avez naturellement.
27. La créativité est contagieuse, transmettez-la.
28. Je n’ai pas fait une seule de mes découvertes par un processus de pensée rationnelle.
29. Nous savons de la vie quotidienne que nous existons d’abord pour
d’autres personnes, car de leur sourire et de leur bien-être dépend
notre propre bonheur.
30. Faites toujours ce qui est droit, cela va satisfaire les uns et étonner les autres
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Nos capitalistes immoraux,mauvais père de famille, agissent mondialement au Québec aussi,nos représentants politiques oublie la majorité.
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Quand le secteur privé préparait le démantèlement de la Sécurité Sociale
Auteur : Mathieu Javaux | Editeur : Walt | Lundi, 22 Déc. 2014 - 07h33

Le titre est à l’imparfait, car l’article date de 2011. Mais
petit à petit les choses se mettent en place, sous le prétexte de la
crise et d’économies nécessaire. Par exemple, l’arrêt de la prise en
charge à 100% de certaines maladies de longue durée a été évoqué
récemment.
Voici le plan prévu :
Quelle sera la situation de notre système de sécurité sociale
en 2015 ? Déremboursement des médicaments pris en charge à 35%, des
soins dentaires, des frais d’opticiens ou des indemnités journalières…
mais surtout des affections longue durée, par exemple les maladies
cardiovasculaires ou certains types de diabète. Tels des médecins de
Molière, le cabinet de consultants Jalma, une référence dans le secteur
de la santé, ne voit qu’une solution pour sauver le malade : la saignée.
Une vision partagée par un grand nombre de responsables du secteur des
mutuelles, des assurances et de la Sécurité sociale. Avec un pactole de
16 milliards d’euros à la clé, pour le privé. Décryptage.
« Quel avenir pour l’assurance maladie ? ». C’est le titre du « livre
blanc » édité par le cabinet Jalma, fin 2009. Jalma, c’est un cabinet
de consultants spécialisé dans le secteur de l’assurance. Il a pour
clients les principales mutuelles, assurances et institutions de
prévoyance, ainsi que des banques et des ministères. Bref, du lourd en
matière d’influence, un « leader » du secteur comme on dit. Son livre
blanc indique les grandes orientations que souhaitent prendre les
acteurs de l’assurance maladie d’ici 2015. Quel avenir, donc, pour notre
Sécu ? Malgré le point d’interrogation, la réponse semble limpide. Elle
tient en quelques mots : moins d’assurance maladie obligatoire, donc
moins de sécurité sociale, et plus d’assurance maladie complémentaire…
pour celles et ceux qui auront les moyens de se la payer.
Pour appuyer cette orientation, rien de tel qu’une bonne expertise
soi-disant impartiale. Depuis une quinzaine d’années, les cabinets de
consultants ont poussé dans le milieu des « complémentaires santé », y
compris chez les mutuelles qui s’affichent « militantes ». Ces
consultants sont souvent payés 1000 euros par jour et leurs « conseils »
se révèlent bien pratiques pour les dirigeants mutualistes qui tentent
de cacher derrière le masque de l’expertise externe leurs décisions les
plus impopulaires : plans sociaux élaborés à la hache, transformation
des adhérents, sociétaires ou bénéficiaires en clients, rentabilisation
des risques santé, sape de la Sécurité sociale. Des décisions que leurs
instances politiques, censées faire partie de « l’économie sociale »
rechignent à assumer.
Ne dites plus patients mais clients
Parmi ces cabinets, Jalma, créé en 1997 par des anciens du courtier
en assurance Gras Savoye, a un rôle particulier. Chaque année, il dresse
un « panorama de l’assurance santé », véritable bréviaire libéral de la
protection sanitaire et sociale. Ce rapport, qui s’appuie sur les
conceptions des oligarques de la protection sociale, d’Axa aux
mutuelles, pèse 150 pages et coûte la bagatelle de 150 euros. En plus de
ce livre blanc, ils se sont fendus cette année d’un sondage : le « 1er
baromètre CSA/Jalma sur la perception par les français de leur système
de santé », histoire de mesurer l’« acceptabilité » des réformes
envisagées auprès de l’opinion.
Rappelons tout d’abord que la différence entre le régime obligatoire –
la Sécurité sociale – et les mutuelles et assurances complémentaires
est fondamentale. Le régime obligatoire offre les mêmes remboursements à
tous et les cotisations sont proportionnelles au salaire de l’assuré.
Le régime complémentaire propose une multitude de contrats divers et ses
cotisations varient selon l’âge de l’assuré, ses capacités financières
et, pour les assurances, selon son état de santé. Si les mutuelles sont à
but non lucratif, les assurances doivent rémunérer des actionnaires.
L’objectif des assurances est de restreindre le régime obligatoire pour
rendre indispensable le régime complémentaire et, ainsi, accroître le
nombre de leurs clients, et augmenter leurs bénéfices qui seront ensuite
redistribués à leurs actionnaires. Si les mutuelles, en tant que
structures à but non lucratif, n’ont pas vocation à faire des profits,
rappelons que bon nombre d’entre elles ont fusionné, disparu ou se sont
transformées purement et simplement en assurance. Axa, mutuelle il y a
25 ans, en est l’exemple le plus emblématique.
8 millions de patients stigmatisés
L’objectif affiché par le rapport est de lister des propositions pour
résorber le déficit de l’assurance maladie (environ 18 milliards
d’euros en 2009). Ses auteurs oublient de s’interroger sur de nouvelles
ressources. La question est rapidement évacuée au motif qu’une
augmentation des impôts ou des cotisations sera nécessaire pour financer
les retraites. Dans ce cas, « difficile, voire impossible, d’augmenter
dans la foulée les ressources pérennes de l’assurance maladie ». Débat
réglé donc. Pas question évidemment de s’interroger sur une réforme de
la fiscalité qui prendrait en compte les stocks option, qui instaurerait
une véritable fiscalité écologique (taxer les produits néfastes pour la
santé par exemple, comme les pesticides ou les industries polluantes),
ni d’envisager de nouvelles recettes grâce à une taxation des revenus
financiers, voire de remettre en cause quelques niches fiscales pour
riches.
Si on ne peut augmenter les recettes, il faut donc s’attaquer aux
dépenses. En premier lieu, les « affections longue durée » (ALD), qui
représentent le premier poste des dépenses de la Sécurité sociale. Ces
ALD sont prises en charge à 100 % par le régime obligatoire. Les
bénéficiaires sont les personnes – au moins 8 millions en 2009 –
atteintes de maladies diverses et souvent chroniques : cancer, sida,
maladies rares, diabète, et certaines personnes âgées atteintes de
maladies dégénératives. 60 % des remboursements de l’assurance maladie
concernent 15 % des personnes assurées, qui sont en ALD. Selon le
rapport, « 5% des assurés en ALD, soit 0,7% de la population [420 000
personnes], perçoivent en moyenne 70 000 euros de remboursement des
régimes obligatoires » par an. Ce qui représente 25 % des prestations de
la Sécurité sociale. Présenter les chiffres de cette manière est déjà
un choix politique en soit. Cela revient à amalgamer des types de
pathologies très diverses. Et cela vise surtout à stigmatiser des
personnes qui ont le tort de coûter cher car elles sont malades.
Un pactole de 16 milliards d’euros pour le privé
Le rapport ne l’indique pas explicitement, mais pour tous les
organismes complémentaires, le véritable magot est là. Sur le poste de
dépenses des ALD, quelques pourcents transférés aux complémentaires –
pour le moment exclues de ce dispositif – représenteraient rapidement
plusieurs milliards d’euros de chiffres d’affaires supplémentaires. Le
rapport envisage deux scénarios pour « sauver la Sécu ». Le premier est
fondé sur « l’instauration d’un ticket modérateur de 10 % en trois ans à
partir de 201. Concrètement, la Sécurité sociale ne rembourserait aux
malades en ALD que 95 % puis 90 % au lieu des 100 %. Le second scénario
propose de « restreindre l’accès au régime ALD selon les recommandations
de la Haute autorité de santé ». Plusieurs ALD – maladies
cardiovasculaires, affections liées à l’hypertension artérielle (comme
le diabète) ou la tuberculose seraient exclues des remboursements
intégraux. Conséquence ? Des millions de personnes ne seraient plus
prises en charge à 100% par la Sécu, ce qui provoquerait une hausse sans
précédent des cotisations aux complémentaires santé. Ce système
défavorise les revenus les plus faibles. Les ménages avec un revenu égal
ou inférieur au Smic sont ceux qui consacrent déjà la plus grande part
de leurs revenus – de 6% à 10% – pour adhérer à une complémentaire
santé.
Pour atteindre l’équilibre ou s’en approcher, les deux scénarios
prévoient aussi la remise en cause du remboursement par la Sécu de ce
qu’ils considèrent comme relevant du petit risque : le petit
appareillage (bas de contention, matériel orthopédique par exemple), les
médicaments à vignette bleue (pris en charge à 35 %), plus les soins
dentaires, ou les frais d’opticiens, déjà presque intégralement à la
charge des complémentaires santé. Au total, selon ces deux scénarios, ce
serait au moins 16 milliards d’euros qui seraient chaque année
transférés vers le régime complémentaire. Ces transferts devraient
permettre aux complémentaires privées de doubler leurs cotisations d’ici
2015. Plus 100% en 5 ans, ça c’est de la croissance ! Rappelons que 7%
de la population n’est pas couverte en complémentaire santé (ni CMU
complémentaire).
Problème : 95 % des Français sont favorables au principe de solidarité
Ce remède de cheval pour « sauver la Sécu » ne semble pas convaincre
les Français, malgré les efforts déployés pour saper les principes de la
solidarité nationale. Au grand désespoir du commanditaire, 95 % des
sondés considèrent que la prise en charge à 100 % des ALD est justifiée,
alors que 4 % estiment qu’elle n’est pas justifiée.
Comme les réponses ne correspondent pas à ce que les consultants
souhaitaient entendre, une autre question est apparue dans le sondage :
« Les affections de longue durée telles que le diabète, l’hypertension
ou insuffisance respiratoire sont aujourd’hui prises en charge à 100%
par l’assurance maladie et constituent le poste de dépense qui augmente
le plus vite. Pour réduire cette dépense de santé pensez-vous qu’il est
préférable de … ? » :
- Remettre en cause la prise en charge à 100% des assurés les plus aisés : 45 %
- Réduire la prise en charge à 95 % ou 90 % de tous les assurés (scénario 1) : 21 %
- Augmenter les impôts (tels que la CSG) et maintenir le système en l’état : 15%
- Supprimer la prise en charge à 100% uniquement de certaines affections (scénario 2) : 8%
- Ne se prononcent pas : 11% »
La question ne précisait malheureusement pas à partir de quel niveau
de revenus l’assuré est considéré comme « aisé ». Cette subtilité permet
aux auteurs de conclure leur rapport par ces mots : « Respectueux du
principe d’égalité, ils [les Français] privilégient la piste de la mise
sous condition de ressources de la prise en charge à 100% en cas de
nécessité absolue. Il ne faut donc pas enterrer trop vite le bouclier
sanitaire, qui pourrait devenir, sous une forme encore à définir, un
outil essentiel des réformes à venir ». La solution imaginée est
simple : les personnes dont les revenus sont inférieurs à un certain
plafond (mais qui pourrait baisser au fur et à mesure de l’évolution des
déficits) bénéficieraient d’un « bouclier sanitaire », c’est-à-dire le
maintien de l’ALD à 100%. Tandis que le reste de la population « aisée »
verrait son ALD en partie transférée vers les complémentaires.
Quand l’on retrouve un certain Guillaume Sarkozy
Le débat est donc posé. En petit comité mais avec les gens qui
comptent. Les propositions du rapport émanent bien des actuels
dirigeants de notre protection sociale et non d’un « think tank »
néo-libéral. Dans ce rapport, presque tous les acteurs incontournables
de la couverture santé en France, dont les « avis et recommandations »
ont été intégrés, figurent dans les remerciements. Ainsi Etienne
Caniard, membre de la Haute autorité de santé et futur président de la
Fédération nationale de la mutualité française (FNMF), et Jean Pierre
Davant, son président actuel. Les mutuelles de cette fédération couvrent
37 millions de français. On retrouve aussi Daniel Havis, PDG de la
Matmut, l’homme aux huit Porsche qui est aux valeurs mutualistes ce que
le babybel est au fromage. Sont également remerciés Guillaume Sarkozy,
DG du groupe Malakoff Médéric et frère du Président, et Frédéric Van
Roekeghem (dit Rocky), DG de la CNAM et, en tant qu’ancien directeur des
audits d’Axa, pas forcément très à l’aise avec le principe de
solidarité en matière de santé… Ou encore Guy Vallancien, chef du
département d’urologie à l’Institut mutualiste Montsouris, médecin
traitant de la Mutualité française et auteur d’un livre dont le titre
laisserait rêveur n’importe quel ultra libéral : « La Santé n’est pas un
droit »... Tout un programme.
Ces oligarques se considèrent-ils solidaires des conclusions du Livre
blanc ? Sont-ils favorables au doublement des cotisations des
mutuelles ? Les dirigeants de la Sécurité sociale sont-ils d’accord avec
la suppression d’une partie des ALD, ou l’instauration d’un ticket
modérateur pour les malades les plus fragiles ? C’est l’Assemblée
nationale qui vote l’Objectif national des dépenses d’assurance maladie
(ONDAM), et donc le budget de la Sécurité sociale. A quel moment les
élus se saisiront-ils de ces questions ? Quand les dirigeants
mutualistes iront-ils assumer devant leurs assemblées générales
respectives de telles orientations à l’heure où même les États-Unis
d’Obama tentent de revenir au principe d’une couverture santé presque
universelle ? En attendant, on peut suggérer une piste de ressources
nouvelles pour la Sécurité sociale : taxer les prestations des
consultants qui désirent tant son retour à l’équilibre.
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Le tabac : une plante médicinale anti-cancer ?
Auteur : Laurent Freeman | Editeur : Walt | Samedi, 20 Déc. 2014 - 07h15

J’ai un peu hésité avant de poster cet
article mais comme tout le monde peut utiliser son propre discernement
je suis curieux de voir vos commentaires sur ce sujet.
Pourquoi ce serait une blague ? Demandez
à votre arrière grand-père. Le tabac est une plante qui a plusieurs
vertus thérapeutiques, désinfectante, antiparasitaire et anticancéreuse,
eh oui ; ce n’est pas d’aujourd’hui. Recherchez dans l’épaisse
littérature… Un long extrait à la fin de ce post pour forcer la réflexion (Dr William T. Whitby).
Bien sur que le tabac n’est pas à conseiller comme le jus d’orange,
mais rien n’est blanc, rien n’est gris.. comme le café, il a ses bons et
mauvais côtés.
Personnellement, je vois dans l’interdit du tabac une gigantesque
expérience orwellienne, genre grippe AH1N1.. un test planétaire pour
évaluer l’adhésion au politiquement correct ; tester le moutonisme. On
le voit bien aujourd’hui que le but est atteint : là, les non-fumeurs,
c’est à dire les « normaux » et en face, cette poignée de malades,
désaxés.. de là à nazi, y a pas loin. Ce n’était pas le but peut-être,
mais le résultat est pourtant là.
« Fumer rend aimable » qu’il disait.. les anciens fumeurs, devenus «
anti-fumeurs » sont eux – parmi les plus hargneux, jalousie mal évacuée ?
Le communautarisme « anti-fumeur » fait son œuvre.
La chasse au tabac a pour première utilité de faire prendre les
vessies pour des lanternes, en effet, interdire l’automobile en
agglomération, tu vois les sociétés Esso, les usagers et le gouvernement
qui perd ses contredanses ? Donc, à tous les problèmes de santé on a
trouvé un bouc émissaire bien facile : le TA-BAC.
Bien sur que fumer 3
paquets par jour, ça n’a rien de terrible.. encore que.. On ne dit pas
que seul un français sur quatre peut éventuellement avoir un problème
pulmonaire du au tabac.
Mais les stats des cancers atmosphériques sont régulièrement évacuées sur le TA-BA-C-GISME – une providence.
Les toubibs sont généralement incapables d’attribuer de bonne fois
les causes d’un cancer pulmonaire, alors « c’est le tabac » que
voulez-vous que ça soit d’autres ? Que votre bagnole recrache 280 g de
saloperies au kilomètres, soit 100 fois plus au cent, 28 kilos de merdes, CO2, soufre, plomb..
alors 100.000 bagnoles, camions et autobus, on vous laisse faire le
calcul journalier qui devrait faire 100.000 fois 28 kilos qui retombent
sur Paris pour 100 km de conduite – sauf erreur ! Calcul
consciencieusement évacué des statistiques de « santé publique» mais
alors le TA-BAC, alors, tous les graphiques sous Excel sont diffusés
tant que faire se peut… De quoi détourner l’attention des juteux
hydrocarbures qui représentent des millions d’euros, détourner
l’attention des vrais pollueurs générateurs de cancers , achats des
bagnoles (quand l’automobile française fait la gueule – va pas casser la
voiture aux œufs d’or !), assurances.. un gigantesque marché comparé à
quelques cartouches de Winston.
Le TA-BAC devient même responsable de TOUT ; cancer du trou duc ?
C’est le TA-BAC, cancer des ongles de doigts de pieds, c’est le TA-BAC ;
vous ne fumez pas – Merdre, alors, c’est le TA-BACgisme PASSIF.. votre
femme fume – non plus.. attendez, on va bien trouver un truc, votre
chien peut-être ou votre mioche qui se roulerait un tarpé de temps en
temps ?
On sait qu’on fait dire ce qu’on veut – et son contraire aux statistiques :
Les hospitalisations à Toronto pour des problèmes cardiovasculaires
et respiratoires ont baissé respectivement de 39% et 33% depuis l’entrée
en vigueur d’une loi anti-tabac en 2001 au Canada » ; bref, si on ne
fume pas, on ne meurt plus d’arrêt cardiaque, peut-être qu’on meurt
d’avoir oublié de respirer ? En France les analyses n’ont pas montré de
différences notables, c’est pourquoi on en fait pas de battage. Et sans
compter, dans les erreurs statistiques : les perverses perversions qui
pervertissent les conclusions perverses autant qu’hâtives : les fumeurs
qui ne fument plus au bistrot, boivent beaucoup moins de café ! Mais on
ne va pas tomber dans l’excès inverse tout aussi invérifiable :
puisqu’on fume moins, on meurt moins des problèmes cardio-vasculaires
entrainés par la surconsommation de café !
Mon médecin de famille fume depuis.. bref, il a 76 ans.. tout ça le
fait bien rigoler « Comme la Grippe A » qui dit ! La désinformation est
facile : pour faire peur, on vous montres des radios d’un mec mort de
silicose : des poumons noirs, pourrit jusqu’à l’os du poumon. Cette
photo, montrait deux poumons alors que très généralement, seul un poumon
est atteint mais toujours les deux en cas de silicose ! Déjà qu’on ne
fait pas forcement la différence entre un genoux et un lobe pulmonaire
sain vu au trombinoscope à balayage gamma – alors.. comment nous,
pauvres béotiens allons nous contredire les « spécialistes », surtout
s’ils sont spécialisés en désinformation. Comme des moutons, on s’est
bien fait piquer contre la grippe de du cochon, sous le conseil de «
spécialistes » alors.
J’ai du intervenir comme sous-traitant pour une sous-boite du groupe
US MERCK (près de l’Etoile à Paris). Fumeur, en arrivant, je demandais
si ça dérangerait que je fume.. tous les pharmaciens présents (US et Fr)
ont rigolé à se casser chacun une côte ! A côté de certains, j’étais un
« petit smoqueur » !
Alors, fort de ces éléments – relativisons – bien sur que pomper 2, 3
paquets, c’est trop, mais comme dit un autre toubibs « l’un fumera
trois paquets par jour et arrivera à 95 ans, tandis que l’autre qui ne
fume que 10 clopes par jour finira sa route à 45?. On ignore bien des
choses à ce titre et les métabolismes de l’un et de l’autres sont
tellement différents. J’en connais une qui se goinfre de « gras » de
cochon, sale à la pelle, fait des tartes immangeables parce que
couvertes de sucre, pèse plus de 150, bref, elle bouffe comme une
vache.. mais à 86 ans, elle se porte comme un charme. Les conseils
diététiques de la télé, mesurer le seul, un devoir de précaution qui
l’aurait peut-être tué à 71 ans ! Va comprendre. Et quand, assis à la
table d’une terrasse, tu apprécies ton Martini on the Rock’s (à
consommer avec la modération qui va bien), tu ne remarques même pas la
fumée du bus en attente qui te voiles un peu la lecture de « L’Ecume des
Jours ».
J’entrais dans une société à Provins et la doc de la Médecine du
Travail regarde mes poumons et me dis satisfaite « Vous au moins, vous
ne fumez pas ! » Elle était si mignonne, je n’ai pas insisté. Un an
après, c’est une moche qui me fait souffler dans un spiromètre, fumeur,
j’avais une fort bonne capacité, elle me dit furieuse « C’est un vieil
appareil.. on le change le mois prochain, je vous rappellerai ». Je
pensais qu’elle m’avait oublié la peau de vache. Ben non, le résultat
était un peu meilleur avec le nouvel appareil. Décidément, on ne peut
pas faire confiance à la fabrication chinoise ..
Si ce n’était un problème de lobbies, on nous déconseillerait bien le
café et ses effets cardio-vasculaires désastreux, mais pour l’instant,
c’est le TA-BAC. Il y a 20 ans, c’était LE TROU DU CUL DANS LA COUCHE
D’OZONE.. maintenant, c’est le « réchauffement climatique », dans 10 ans
– je ne sais pas.
Pour en revenir au tabac, cette plante médicinale aux multiples
vertus remonterait dans l’estime.. même dans l’estime des cancérologues
et toubibs – honnêtes et indépendants s’entend.. va comprendre.
Extrait du livre du Dr William T. Whitby
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L'Opep ne régule plus rien! L'EIIL vend du brut à moins de 40 USD le baril
Auteur : Plumenclume | Editeur : Walt | Vendredi, 19 Déc. 2014 - 08h21
L'EIIL vend du brut à moins de 40 USD le baril et les frappes aériennes se sont arrêtées…
Il semble que l’OPEP ne soit plus désormais en mesure d’agir sur les
mécanismes fixant les prix du brut et que c’est le marché basé sur
l’offre et la demande qui déterminera les prix. Ceci pour le côté cour.
Côté jardin, Ryad joue à un jeu de saut à l’élastique à trois temps que
très peu d’experts pétroliers seraient en mesure de rationnaliser.
Côté marché, c’est "Daech" (acronyme Arabe de l’Etat Islamique d’Irak
et du Levant) qui se met à vendre du brut à moins de 40 dollars US le
baril, voire à 37.8 USD le baril cette semaine. Du coup, les frappes
aériennes de la coalition dirigée par Washington se sont pratiquement
arrêtées et les médias mainstream n’évoquent plus les méchants «
Djihadistes » de l'EIIL ni même plus ce dernier.
Belle aubaine pour de nombreux pays. A commencer par la Turquie. La
seule mauvaise nouvelle est que l’armée syrienne, de facto et à
posteriori la seule force sur le terrain qui combatte réellement l'EIIL
et consorts, à dernièrement une fâcheuse tendance à avancer très vite
dans la province d’Alep. Mais pour les ennemis de Damas, celui-ci ne
perd rien pour attendre et on lui prépare une nouvelle armée dans
l’ombre sous des vocables assez étranges comme « financements
internationaux de la rébellion modérée »…un drôle de programme en
perspective.
Donc il a suffi qu’une organisation comme l'EIIL se mette à vendre du
pétrole au rabais pour qu’elle redevienne un élément à prendre en
compte dans la stratégie d’endiguement actif visant des pays comme la
Chine, l’Iran et la Russie.
La chute des prix du brut sur les marchés internationaux continuent.
Au détriment de certains pays producteurs. Mais il est clair qu’il
existe une très grande différence d’encaissement entre un pays comme
l’Arabie Saoudite et un autre comme le Venezuela dont la descente aux
enfers est bien entamée.
La guerre civile et l’anarchie totale en Libye aidant, puisque les
combats de rapprochent du croissant pétrolier (Golfe de Syrte), le prix
du brut n’est pas prêt à rebondir. Les grosses multinationales US se
sont retirés d’Irak et elles ne ressentent plus le besoin de gonfler les
prix. Avec ou sans gaz de schiste, une crise pétrolière inversée visant
les pays producteurs et des pays donc l’économie surchauffée est
fortement dépendante de cette ressource est bel et bien enclenchée.
Certains pays évoquent la fin de l’ère pétrolière. Ceci est
pratiquement le cas pour certains pays comme l’Algérie où les gisements
sont en fin de vie. La Libye en dispose encore mais les gisements font
l’objet d’une véritable guerre tandis que la Chine et la Russie tablent
non sans moult difficultés sur le gaz naturel. Reste l’Arabie Saoudite.
Cette OPEP dans l’OPEP et dont l’influence sur les prix n’est plus à
démontrer.
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Le Satanisme
Auteur : Lyndon LaRouche abrégé par Henry Makow. | Editeur : Walt | Jeudi, 18 Déc. 2014 - 14h39
Cet essai important de Lyndon LaRouche décrit la manière
dont le Satanisme a toujours fait partie de la « culture » occidentale.
Le kabbalisme juif (la Franc-maçonnerie) trouve son origine dans les
anciennes « religions à mystères » sataniques. Leur but est exprimé par
le Nouvel Ordre Mondial : transformer les êtres humains en démons. Nous
sommes littéralement en train d’être sataniquement possédés.
Les satanistes ont déjà fait d’innombrables victimes. La plupart des
atrocités sexuelles perpétrées sur des enfants et des bébés « disparus
», sont liées à des rituels prescrits au sein de manuels rédigés par des
organisations sataniques. Une importante association des forces de
police a conclu que selon l’estimation des experts, de tous les meurtres
connus, un sur cinq serait dû à la pratique du meurtre rituel…
Le satanisme n’est pas seulement une lubie occulte réservée à des
fous dérangés. L’esprit des satanistes représente le mal à l’état pur ;
le sataniste est quelqu’un qui a été transformé en quelque chose qui
n’est plus humain. Cela débute comme une addiction à la drogue ; la
recrue potentielle du satanisme « s’engage dans une activité » sous
l’emprise d’une impulsion ludique, puis se trouve par la suite entraîné
par des pulsions qu’il ne parvient plus à contrôler.
La prise de drogue et d’autres circonstances spéciales peuvent faire
partie intégrante de l’initiation, mais pas nécessairement. La clef est
de se « laisser aller », de s’immerger profondément dans ses impulsions,
combinant les pulsions sexuelles et la rage en les unifiant, exprimant
cette forme de « plaisir » par un acte qui viole les préceptes de sa
propre conscience.
Nietzsche identifiait ces impulsions comme appartenant à la qualité
satanique – dionysiaque. (L’activité dionysiaque ou l’abandon sauvage
conduit par elle-même à la possession non-démoniaque. Pour devenir
possédé par le démon, il est nécessaire de tuer, de torturer, ou de
tourmenter quelqu’un avec une attitude neutre ou positive…)
Le sataniste fait dépendre son plaisir de la sensation de pouvoir
acquise par l’emploi de moyens vicieusement cruels et cela devient une
fin en soi. Cette forme de plaisir criminel devient une mixture de rage
et de sexualité mêlée. Ces appétits une fois rassasiés, viennent à créer
un état métal chez cet homme, selon lequel il doit faire quelque chose
d’encore plus monstrueux pour atteindre le niveau désiré de plaisir
orgiastique à travers l’acte maléfique. Le mal pour le plaisir du mal,
est devenu pour lui, une fin en soi. Cet homme est devenu une bête, un
sataniste virtuel.
Contrairement à l’esprit sain, qui cherche toujours à améliorer ce
qu’il maîtrise, l’initié au satanisme développe un besoin de chercher à
accomplir quelque chose de bien pire. Les cultes sataniques organisent
ce processus d’auto-dégénérescence. Le potentiel d’incidence endémique
de la bestialité individuelle au sein de la société, se change en une
forme organisée et institutionnalisée de comportement social.
LES DÉBUTS EN MÉSOPOTAMIE (IRAK)
Tournons-nous vers l’ancienne Mésopotamie, d’où le satanisme fut
transmis en Europe occidentale. La figure évocatrice du satanisme n’est
pas celle d’un homme, mais d’une femme. Les symboles masculins : Satan,
Baal, Lucifer, etc. n’est qu’un symbole subordonné, le principe féminin
est prédominant. D’où la mère de Satan, la « Putain de Babylone »,
connut également comme la Ishtar chaldéenne, ou les cananéennes Astarté,
Isis, Venus ou la Cybèle phrygienne. Le rituel de la prêtresse d’Ishtar
était une « cérémonie religieuse » obscène se terminant par la
fornication de la prêtresse avec la congrégation. D’où la « Putain de
Babylone », et les rapprochements avec Ishtar, Athtar, Astarte, Isis et
Vénus comme la déesse de la prostitution.
Cette pratique satanique fut introduite en Mésopotamie à partir de
l’Inde pré-arienne. La prétendue culture « Harappéenne » évoquant la
Terre-Mère et la déesse de la fertilité Shakti et ainsi que sa
contrepartie masculine Shiva, établirent un certain nombre de colonies
au sein du Moyen-Orient… Dans la ramification cananéenne (phénicienne)
de la colonisation harappéenne, Shakti est connue sous le nom d’Astarté.
Le culte hellénique d’Isis et d’Osiris n’était qu’une excroissance du
culte harappéen de Shakti-Shiva… Parmi les Cananéens par exemple, le
satanisme s’exprimait sous la forme du culte rendu à Moloch, comprenant
la pratique de sacrifice humain du premier né de chaque mariage. Notons
que la tradition cananéenne est maintenue au sein des homicides sexuels
rituels des satanistes modernes, en s’exerçant sur les nouveau-nés et
les enfants.
En combinant les moyens par lesquels les hommes et les femmes sont
dégradés au rang de bêtes sataniques, avec les rituels associés aux
pratiques sataniques, une forme d’« anti-religion » se développe à
grande échelle à travers un prosélytisme systématique.
Le résultat de cette initiation, comme nous l’avons déjà démontré,
produit un être humain transformé en quelque chose d’inhumain.
… Au cours du 14ème siècle, les sorcières étaient en fait des bêtes
satanistes sous-humaines… Alors, la population ne trouvait pas mieux
pour se défendre contre de véritables forces sataniques, que de les
chasser et les exterminer. Ce n’est pas pour rien que l’Ancien Testament
avertit : « Tu ne laisseras vivre aucune sorcière. » Les sorcières de
l’ancien Moyen-Orient et de l’Europe du 14ème siècle étaient bien
réelles, de véritables bêtes meurtrières.
LA SORCELLERIE MODERNE
La propagation de la sorcellerie moderne au sein des pays anglophone,
commença au cours du seizième siècle, dans le sillage des cultes
d’importation du kabbalisme et rosicruciens fleurissant aux alentours
d’Oxford et de Cambridge. Francis Bacon et son secrétaire Thomas Hobbes
faisaient partie de ce mouvement.
L’inculcation endémique du satanisme que connut l’Angleterre au 17ème
siècle explosa après l’accession au trône du roi George Ier sous la
forme des fameux Hell-fire Clubs qui proliférèrent parmi la noblesse
anglaise dégénérée sous la longue gouvernance du Premier Ministre
libéral Hugh Walpole.
Sous les Stuart, la période de restauration, les cultes sataniques
rosicruciens et kabbalistes entourant la cour des Stuart étaient
illustrés par leur représentation sous forme de « kabbale »… Au cours de
ce siècle, lorsque les papiers secrets du laboratoire d’Isaac Newton
furent examinés, le contenu des soi-disant « travaux scientifiques » de
Newton, s’avérèrent n’être qu’une sélection d’expérimentations sordides
et plutôt folles de « magie noire ». Les cercles formés autour de
Francis Bacon et Hobbes n’étaient qu’un « ramassis de dingues… »
Le satanisme gagna du terrain sous la protection du libéralisme et du
romanticisme au cours du 19ème siècle. En Angleterre, les formes les
plus virulentes firent surface au sein de l’Université d’Oxford de John
Ruskin et de la fraternité préraphaélite. De ce vivier, sortirent la
Théosophie, le socialisme « britannique », la société Fabienne, Bertrand
Russell, H. G. Wells et Aleister Crowley – tous des satanistes.
Ce courant finit par contaminer les États-Unis, notamment dans les
cercles du prétendu « Grand Réveil », de l’évangéliste Jonathan Edwards,
et de son protégé et activiste du Hell-Fire Club de Princeton, Aaron
Burr. Au cours du 19ème siècle, ce genre de congrégations associées à
des personnalités comme celles d’Olivier Lodge et Arthur Conan Doyle se
répandit généreusement parmi les libéraux anglophiles fortunés des
États-Unis.
En bref, ce type de sorcellerie est endémique depuis des siècles. La
différence c’est que ce qui fut autrefois endémique, est aujourd’hui
devenu épidémique…
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L’Ancien mentor d’Obama a qualifié les Etats-Unis de « nation terroriste »
Auteur : Réseau International | Editeur : Walt | Mercredi, 17 Déc. 2014 - 15h41

William Ayers, un ami du Président des
États-Unis Barack Obama et ancien professeur à l’Université dans
l’Illinois, connu pour ses opinions extrêmes de gauche, a déclaré que
les Etats-Unis étaient une nation terroriste et la plus grande menace
pour la paix mondiale.
« L’impérialisme américain est
aujourd’hui en déclin, ainsi que sa puissance économique et politique,
Mais les Etats-Unis continuent à développer leurs forces militaires
agressives », dit Ayers, cité par l’Agence de presse Fars.
« Je pense que les Etats-Unis devraient
immédiatement fermer toutes leurs bases militaires à l’étranger, retirer
toutes les troupes, y compris les mercenaires, des territoires des pays
étrangers, pour arrêter l’aide militaire à Israël, et renoncer
unilatéralement aux armes nucléaires… La guerre contre le terrorisme est
un mythe, mais un mythe avec des conséquences dévastatrices, et le
coupable en est le gouvernement des États-Unis, » a déclaré Ayers.
Un peu auparavant, le Président russe
Vladimir Poutine, commentant la politique des Etats-Unis, avait déclaré
qu’il avait l’impression que les « gagnants » de la guerre froide
avaient décidé de redessiner le monde entier pour eux-mêmes. Selon
Poutine, la politique des Etats-Unis sur la scène internationale est
assimilable au comportement des nouveaux riches, sur qui était tombée
une énorme richesse sous la forme de leadership mondial. « Et au lieu de
gérer leur patrimoine intelligemment, avec soin, y compris, évidemment,
à leur propre avantage, ils ont commis énormément de bévues », avait
déclaré le Président.
À son tour le ministère des affaires
étrangères a déclaré plus tôt que « le danger du désir des États-Unis
d’Amérique et de l’Occident en général d’agir en position de
supériorité, d’exclusivité et de domination a été démontré par les
conséquences des actions militaires en Irak, en Libye, ainsi qu’en
Afghanistan, où au fil des ans, avec la présence étrangère sous les
auspices de l’OTAN, la menace du terrorisme et le trafic de drogue non
seulement n’ont pas diminué, mais se sont intensifiés ».
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Les idiots écolos de Greenpeace endommagent définitivement des lignes de Nazca au Pérou…
Auteur : Mylène Vandecasteele | Editeur : Walt | Mardi, 16 Déc. 2014 - 13h07
A vouloir trop bien faire, il ne faudrait pas que ça devienne de « l’écolo-terrorisme ».
Le gouvernement du Pérou envisage de porter plainte contre Greenpeace
: il reproche à l’Organisation d’avoir endommagé les célèbres lignes de
Nazca. Ces lignes, appelées géoglyphes, forment de grandes figures,
représentant souvent des formes géométriques ou des animaux, réparties
sur un espace de plusieurs centaines de km² dans le désert de Nazca, au
Sud du Pérou. Elles auraient été tracées sur le sol il y a entre 1500 et
2000 ans, et ont été classées comme trésor du Patrimoine mondial de
l’Unesco depuis 1994.
Or, c’est à Lima au Pérou que se tient actuellement une convention de
l’ONU concernant le réchauffement climatique. Les activistes de
Greenpeace voulaient attirer l’attention des participants à cette
convention, et ils se sont donc rendus à l’aube sur ce site sacré pour y
déposer des lettres de tissu jaune formant les mots « Time for Change !
The Future is renewable – Greenpeace » (‘Il est temps de changer !
L’avenir est renouvelable – Greenpeace’), à quelques mètres seulement de
l’une des plus emblématiques de ces figures, celle du colibri.
Mais cette intrusion sur ce site sacré a déclenché la colère des
Péruviens. Le vice ministre de la Culture, Luis Jaime Castillo, a
expliqué que le site est si sacré que personne n’a le droit de s’y
rendre de sa propre initiative, pas même le président du pays, et que
les personnes autorisées doivent chausser des chaussures spéciales pour
ne pas laisser de marques de pas. « Elles sont extrêmement fragiles. Ce
sont des roches noires sur un sol blanc. Si vous marchez là-bas, les
empreintes de vos pas dureront des centaines de milliers d’années », a
expliqué le vice-ministre. « C’était au milieu de la nuit. Ils sont
entrés et ont marché sur notre colibri, et en regardant les images, on
peut voir qu’il y a de sérieux dégâts. C’est une vraie gifle envoyée à
ce que les Péruviens considèrent comme sacré », ajoute-t-il, évoquant
l’intrusion des militants Greenpeace.
La police péruvienne a réclamé les noms des militants ayant participé
à cette action pour engager des poursuites légales à leur encontre.
Greenpeace a immédiatement présenté ses excuses, évoquant une « offense
morale » pour le peuple péruvien:
«Sans réserve, Greepeace présente ses excuses au peuple du Pérou pour
l’offense causée par notre activité récente pour laisser un message
d’espoir sur le site des lignes historiques Nazca. Nous sommes
profondément désolés pour ceci.
Nous comprenons pleinement que cela semble déplacé. Au lieu de
relayer un message urgent d’espoir et de possibilité pour les dirigeants
qui se réunissent actuellement à Lima pour les négociations de l’ONU
sur le changement climatique, nous sommes apparus irrespectueux et
grossiers. »
Greenpeace affirme que ses militants ont fait attention à ne pas
dégrader le site et que l’organisation coopèrera avec toute enquête,
indiquant que son Directeur exécutif international, le Dr Kumi Niadoo,
se rendrait au Pérou cette semaine pour s’excuser personnellement.
S’ils étaient reconnus coupables, les militants en cause pourraient encourir jusqu’à six ans de prison.
Le Pérou pas amusé par l'action Greenpeace (vidéo en en anglais)
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Benzodiazépines : des médicaments qui rétrécissent le cerveau… depuis 30 ans !
Auteur : Napakatbra | Editeur : Walt | Mardi, 16 Déc. 2014 - 12h51

En 1982, le gouvernement britannique apprenait que les
benzodiazépines (dérivés du valium : Xanax, Lexomil, Lysanxia,
Myolastan…) pouvaient provoquer des troubles neurologiques graves. 30
ans plus tard… les médecins continuent de distribuer les pilules comme
des Smarties !
The Independent on Sunday vient de lâcher une bombe. Le canard
britannique s’est procuré des documents confidentiels plutôt gênants. En
1981, suite aux trouvailles du professeur (aujourd’hui émérite) Malcolm
Lader, chercheur de renom dans le domaine de la psychiatrie, le Medical
Research Council (MRC, institut gouvernemental) avait organisé un
brainstorming scientifique pour évoquer le rétrécissement du cerveau
survenu chez certains patients gobant des benzodiazépines. L’année
suivante, le MRC décidait d’approfondir le sujet pour évaluer l’impact à
long terme de ces molécules. Puis, plus rien. Le ministère de la Santé
n’a pas donné suite.
La bourse ou l’avis
Aucun test « officiel » de toxicité neurologique à long terme n’a
jamais été réalisé sur ces médicaments (Xanax, Lexomil, Lysanxia,
Myolastan…) vendus à des dizaines de millions d’exemplaires, censés
lutter contre l’anxiété, le stress, l’insomnie et les spasmes
musculaires. Le Pr Lader a déclaré : « Je recevais de l’argent pour
d’autres recherches et ne voulais pas être étiqueté comme la personne
qui a tué les benzodiazépines…
J’aurais dû être plus proactif… J’ai supposé que la prescription
allait se tarir, mais les médecins ont continué de les balancer comme
des Smarties ».
La camelotte qui ramolit le cerveau
En 1995, Heather Ashton, professeur émérite de psychopharmacologie
clinique, a elle aussi fait une proposition à la MRC pour étudier le
lien entre la consommation de « benzos » et les dommages permanents
induits sur le cerveau. Sa proposition a été rejetée. La MRC se défend
en prétendant qu’une fois « acceptées les conclusions du rapport de
Malcolm Lader« , elle était prête à financer « toute demande de
recherche répondant aux normes scientifiques requises« … ce qui n’est,
prétend-elle, toujours pas arrivé à ce jour. La faute à pas-de-chance…
« Enorme scandale »
Députés et avocats se liguent aujourd’hui pour dénoncer un « énorme
scandale » (dixit Jim Dobbin, président d’un groupe parlementaire
multipartite sur les addictions médicamenteuses) qui pourrait ouvrir la
voie à des recours collectifs pouvant impliquer jusqu’à 1,5 million de
patients devenus accros à leurs dépends. Un grand nombre d’entre eux
présenterait des symptômes neurologiques compatibles avec les
constations de Malcolm Lader. Dans les années 1960, annoncés comme
totalement inoffensifs, les benzos étaient présentés comme la première
merveille du monde pharmaceutique. En une décennie, ils sont devenus les
plus couramment utilisés au Royaume-Uni. Sauf que ces médocs
révolutionnaires induisent une addiction particulièrement puissante, et
cela en quelques jours.
Descente aux enfers
Valerie Bell a fait une attaque de panique, en 1984. Son médecin lui a
immédiatement prescrit du lorazépam. Aujourd’hui, elle a 67 ans. Elle
est sevrée depuis 2007 mais souffre toujours de douleurs neurologiques à
la tête, au cou et aux pieds.
« Nous avions deux magasins de fleurs dans l’Essex, avec mon mari.
Nous avons eu une belle vie […] j’ai eu une attaque de panique lors
d’une soirée. Mon médecin m’a dit qu’il y avait un nouveau médicament
merveilleux en provenance des Etats-Unis, alors je l’ai pris sans poser
de questions. Immédiatement après, je me suis senti mal. Le médecin a
dit que c’était ma maladie et a augmenté les doses, tout en ajoutant un
antidépresseur. Cela a duré pendant des années, une nouvelle pilule
suivait de nouvelles pilules. Certains jours, je ne pouvais même pas
sortir du lit.
J’ai vu 32 médecins, mais personne n’a dit que mes symptômes
pouvaient provenir des pilules. Pendant des années, j’ai cru ces hommes
en blouse blanche et costumes Armani. Quand j’ai décidé que ça
suffisait, il m’a fallu 15 ans pour m’en sortir […] j’étais totalement
incohérente, j’entendais des voix, j’étais incapable de faire du thé.
Aucun être humain ne devrait souffrir comme ça. Nous avons perdu notre
maison et nos entreprises. Les médicaments ont détruit nos vies».
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Michel Sardou : "On va aussi interdire les bûches de Noël ?"
Auteur : Marc Fourny | Editeur : Walt | Samedi, 13 Déc. 2014 - 11h16

Le plus grognon de nos chanteurs est de retour : Michel Sardou, 45
ans de carrière, ne se reconnaît plus dans cette France qui part en
vrille et le dit franchement dans une interview accordée au Figaro.
Dernière polémique qui le hérisse : l'interdiction des crèches de Noël
dans les lieux publics. "Qu'est-ce que c'est que ces conneries, ça
dérange qui ?" lance-t-il tout de go, en précisant qu'il n'est pas un
fervent catholique.
"On va peut-être interdire les bûches de Noël, aussi ? Au nom de la
laïcité, détruisons les églises pendant qu'on y est, faisons de la
cathédrale de Chartres une grande HLM. Supprimons le kippour, le
ramadan. C'est n'importe quoi ! Je vais défiler tout seul de la Nation à
République avec une pancarte Arrêtez tout, Arrêtons d'être cons !"
Macron "ne va pas faire long feu"
Deuxième sujet qui fâche : le travail le dimanche et l'opposition que
le projet suscite. Là encore, le chanteur voit rouge. " Mais pourquoi
on casse les pieds des gens ? Ceux qui veulent travailler, ils
travaillent et les autres, non ! Moi, je travaille bien le dimanche,
personne ne m'emmerde." Même s'il avoue se contreficher de la politique,
l'artiste se désole de voir le pays bloqué par les corporatismes, les
divisions et un pouvoir déboussolé.
"On prend des décisions qui n'ont rien à voir avec la vie des gens,
constate-t-il avec amertume. Il faudrait qu'on ait un mec qui ait le
courage de tout mettre à plat. De tout changer. Mais, pour cela, il
faudrait que l'on ait aussi un peuple qui ait le courage de l'accepter."
Il y a bien Emmanuel Macron, le jeune ministre de l'Économie, qui
semble jouir d'un léger crédit à ses yeux, mais "il ne va pas faire long
feu", prédit Sardou. "Vous avez vu comment il est traité à chaque fois !
Il se fait jeter comme un lépreux", poursuit-il. "Pour faire passer les
réformes, il faut le faire par ordonnance. Point barre."
"On va droit dans le mur !"
Quant à François Hollande, son opinion semble désormais établie. Si
le nouveau président a bénéficié dans les premiers temps d'une certaine
indulgence, Michel Sardou allant même jusqu'à soutenir la taxe à 75 %
sur les plus hauts revenus - à titre provisoire, il ne faut pas exagérer
-, l'état de grâce est bel et bien révolu. Pour cet artiste qui affirme
n'être ni de droite ni de gauche mais un "anarchiste libre", le pouvoir
actuel a fait la preuve de son incompétence.
"On va droit dans le mur !" disait-il déjà cet été sur les ondes
d'Europe 1 en pestant contre les Français qui avaient voté pour Hollande
: "Ils l'ont voulu, ils l'ont eu... Qu'ils se le gardent maintenant, il
y en a encore pour trois ans." Si le chanteur reconnaît avoir déjeuné
avec tous les présidents de la République depuis François Mitterrand -
avec lequel il parlait littérature et chansons -, il s'est dit peu
enthousiaste à l'idée de rencontrer un jour François Hollande. "S'il
m'invite, précise-t-il au Figaro, je trouverai une excuse polie pour ne
pas y aller..." Le carton aux armes de l'Élysée n'est pas près de
partir.
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Fitch abaisse la note de la France à "AA" en raison du dérapage budgétaire
Auteur : L'Orient le jour | Editeur : Walt | Samedi, 13 Déc. 2014 - 05h22
L'Agence de notation Fitch Ratings a abaissé vendredi la note de la
France de "AA+" à "AA" en l'assortissant d'une perspective stable en
raison notamment du dérapage budgétaire.
Fitch a également qualifié
de "faibles" les perspectives économiques du pays et affirmé que
celles-ci pesaient sur la consolidation des finances publiques et la
stabilisation du ratio de la dette.
"L'économie française devrait croître moins que la moyenne des pays
de la zone euro pour la première fois en quatre ans", a souligné Fitch.
L'agence estime que le programme de réformes structurelles du
gouvernement "n'apparaît pas suffisant pour renverser les tendances
négatives qui pèsent sur la croissance à long terme et la
compétitivité".
Fitch table sur une croissance du Produit intérieur brut (PIB)
français de 0,4% en 2014 et de 0,8% en 2015, année où "la dépréciation
de l'euro et les prix du pétrole plus bas soutiendront quelque peu la
croissance".
Malgré les mesures d'économie de 3,6 milliards d'euros
annoncées par le gouvernement, qui vont mener le déficit 2015 à 4,1% du
PIB au lieu de 4,3% prévus auparavant, "cela ne sera pas suffisant pour
changer les projections de Fitch sur la dynamique de la dette publique
de la France", ajoute l'agence.
Dans un communiqué, le ministre français des Finances Michel Sapin a
assuré que "la politique menée commence à porter ses fruits, puisque les
entreprises bénéficient des premiers effets des baisses de
prélèvements, qui se poursuivront durant les prochaines années".
"Dans un contexte économique difficile en Europe, le gouvernement
maintient son cap, avec la mise en oeuvre des économies prévue, avec la
poursuite des réformes nécessaires pour renforcer la croissance et
rendre les entreprises plus compétitives", explique encore M. Sapin.
Fitch souligne qu'à 4,1% du PIB, le déficit prévu pour 2015 "ne
présente pas d'amélioration par rapport à celui de 2013". Le
gouvernement projette aussi un déficit de 4,4% pour 2014, au lieu de
3,8% prévu en avril.
"Ces dernières déviations dans les objectifs
budgétaires (...) affaiblissent la crédibilité budgétaire", affirme
encore l'agence ajoutant que "c'est la deuxième fois depuis fin 2012 que
le gouvernement français retarde l'objectif d'atteindre le seuil de
déficit de 3%" que réclame l'Union européenne.
Le gouvernement français a repoussé cet objectif à 2017.
Selon le projet de budget 2015, les autorités françaises estiment que
le ratio d'endettement va culminer à 98% du PIB avant de régresser à
97,3% en 2017 et 92,9% en 2019, rappelle Fitch, qui souligne toutefois
que "la capacité des finances publiques à absorber des chocs se réduit
de façon significative".
"La dette française est parmi les plus sûres et les plus liquides au
monde avec une charge de la dette contenue", affirme le gouvernement
français dans son communiqué, assurant que la confiance des
investisseurs "se nourrit d'une stratégie économique cohérente que le
gouvernement entend poursuivre avec détermination".
Fitch avait menacé d'abaisser la note de la France dès la mi-octobre.
Le 10 octobre sa concurrente Standard and Poor's avait elle aussi lancé
un avertissement, en faisant passer à "négative" au lieu de "stable" la
perspective d'évolution de la note de la dette française, qu'elle
maintenait à "AA".
Standard and Poor's est traditionnellement plus sévère à l'égard de
la France, qu'elle avait été la première à priver de son "triple A", en
janvier 2012. Ses concurrentes Moody's et Fitch continuaient
dernièrement d'accorder la deuxième meilleure note possible à la qualité
de la dette française, alors que S&P était déjà descendue au
troisième cran.
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Auteur : Why you don't try this ? | Editeur : Walt | Vendredi, 12 Déc. 2014 - 06h57

Cette ancienne recette d’un pharmacien a été découverte en 1972 dans
un monastère bouddhiste dans les montagnes du Tibet. On estime que la
recette date d’il y a 5 000 ans.
Cette recette bouddhiste est préconisé pour :
Infarctus du myocarde ;
Artériosclérose ;
Sinusite ;
Hypertension ;
Les maladies pulmonaires ;
L’arthrite et les rhumatismes ;
Divers troubles de la vue et auditifs ;
Impuissance ;
Manque d’appétit ;
Gastrite ;
Ulcères d’estomac et hémorroïdes ;
Nettoie les graisses et les calculs du corps (reins, vésicule biliaire) ;
Améliore le métabolisme et donc tous les vaisseaux sanguins redeviennent élastiques ;
Dissout les caillots sanguins ;
Régule le poids corporel.
Et peut-être le plus important : ce remède absorberait toutes les tumeurs internes et externes !
PREPARATION : ajoutez 350 grammes d’ail écrasé dans
un bocal en verre. Versez dessus 220-250 grammes d’alcool à 95-96°, de
rhum ou autre spiritueux.
ATTENTION : l’alcool ne doit pas contenir d’autres
substances, telles que le chlorure de benzalkonium ou le méthanol.
Fermez le bocal hermétiquement et placez-le au réfrigérateur pendant 10
jours.
Au 11ème jour, filtrez le mélange à l’aide d’une passoire très fine.
Versez le liquide obtenu dans le même bocal et placez-le encore 2 jours
au réfrigérateur.
Recette bouddhiste TRAITEMENT:
Après ces deux jours, le remède est prêt à être utilisé (les gouttes
peuvent être prises avec du lait ou de l’eau avant de commencer à
manger), comme suit :
Nombre de gouttes par jours
Jour Petit-déjeuner Déjeuner Dîner
1 1 2 3
2 4 5 6
3 7 8 9
4 10 11 12
5 13 14 15
6 16 17 18
7 12 11 10
8 9 8 7
9 6 5 4
10 3 2 1
11 15 25 25
12 25 25 25
Continuez avec 25 gouttes 3 fois par jour, jusqu’à finir le bocal.
Ce traitement ne doit être répété qu’une fois tous les 5 ans !
On peut rajouter pour les sceptiques que 5000 ans est une estimation,
non un fait avéré, et que le nom de « recette bouddhiste » vient du
fait qu’elle a été retrouvée dans un monastère bouddhiste.
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Un Belge de 52 ans est le dernier d'une série de 36 banquiers qui ont perdu la vie de manière étrange cette année
Auteur : Mylène Vandecasteele | Editeur : Walt | Mercredi, 10 Déc. 2014 - 01h55
Mercredi, on a retrouvé à Ostende le corps sans vie deGeert Tack, un
gestionnaire de fortune pour la banque de gestion privée ING. Il était
porté disparu depuis le 5 Novembre. Ce jour-là, il avait quitté son
domicile de Haaltert pour se rendre à son travail, mais il n'est jamais
arrivé. Un avis de recherche avait été lancé et on avait exploré la zone
du Zwin, où l'on avait retrouvé sa voiture abandonnée. Le 3 décembre,
son corps a finalement été retrouvé en mer, sur la côte d'Ostende. Une
autopsie sera menée pour déterminer la cause du décès, mais le procureur
a déjà précisé qu'il ne présentait aucun signe de violence.
Tack rejoint une longue série de banquiers et de dirigeants du monde
financier, qui sont décédés cette année de façon étrange, anormale, et
parfois inexplicable. La plupart de ces banquiers étaient américains,
mais trois d'entre eux étaient des Belges.
Ainsi, le 18 avril 2014, Benoit Philippens, un banquier de 37 ans qui
travaillait pour BNP Paribas, a été abattu de plusieurs balles avec son
épouse - qui avait également travaillé dans une banque - et leur
filleul de neuf dans leur maison à Visé près de Liège. L'auteur de ce
triple meurtre n'a pas été trouvé.
Quelques jours plus tard, le 22 avril, en France, une banquière de 52
ans, dont le patronyme n'est pas connu, s'est suicidée en se jetant du
haut de l'immeuble parisien de la banque où elle travaillait, la BRED.
Le 6 mai, Carlos Six, l'administrateur général de l'Administration
générale de la Fiscalité, s'est noyé alors qu'il était en train de
nager en mer au Brésil. Il travaillait sur ??une mission à l'étranger à
Rio de Janeiro. Six aurait été emporté par le courant.
Les Pays-Bas ont aussi été frappés par une série de décès dans le
monde financier. Jan Peter Schmittmann, un ex-banquier de l'ABN Amro qui
était âgé de 57 ans, s'est suicidé à son domicile de Laren, après avoir
tué sa femme et sa fille. Il souffrait de sévère dépression.
Thieu Leenen, un banquier de 64 ans de Valkenswaard qui avait fait
toute sa carrière chez ABN-Amro, a été retrouvé mort avec sa femme Ellen
Kubbinga (55 ans) dans leur voiture au fond d'un canal à Mol, en
Belgique. Tout laisse à penser qu'il s'agit d'un acte de désespoir.
Jan Winkelhuijzen (75 ans) avait été CEO de Deloitte jusqu'à sa
retraite en 1998. En Juin, lui et sa femme âgée de 68 ans avaient été
trouvés morts chez eux par leur petit-fils. Selon certains rapports, il
aurait été tué à coups de couteau, mais il pourrait s'agir d'un drame
familial.
Thérèse Brouwer, une femme de 50 ans qui dirigeait l'unité
d'énergie-finance chez ING, faisait partie des passagers disparus de
l'avion de la Malaysian Airlines qui a été abattu au-dessus de
l'Ukraine. Elle était avec sa famille en route vers la Malaisie pour des
vacances.
Certains cas ont davantage attiré l'attention de la presse : le
suicide de William Broeksmit, un ancien cadre supérieur de la Deutsche
Bank, âgé de 58 ans, qui s'est pendu dans sa villa londonienne de
Kensington, ou celui de Gabriel Magee, un cadre de JP Morgan, qui s'est
jeté du sommet de l'édifice du siège européen de JP Morgan à Londres.
Plus récemment, la presse a annoncé le suicide à Tel Aviv de Thierry
Leyne, un banquier d'investissement franco israélien âgé de 48 ans, qui
s'est défenestré d'un immeuble. Quelques semaines plus tôt, on avait
appris qu'il avait créé un fonds d'investissement qu'il devait gérer
avec son nouveau partenaire, l'ex-directeur général du FMI déchu, le
Français Dominique Strauss-Kahn.
This is the 36th Dead Banker of the year (via Beforeitsnews):
1) David Bird, 55, long-time reporter for the Wall Street Journal working at the Dow Jones news room
2) Tim Dickenson, a U.K.-based communications director at Swiss Re AG
3) William Broeksmit, 58, former senior manager for Deutsche Bank
4) Ryan Henry Crane, age 37, JP Morgan
5) Li Junjie, 33, Hong Kong JP Morgan
6) Gabriel Magee, 39, age JP Morgan employee
7) Mike Dueker, 50, who had worked for Russell Investments
8) Richard Talley, 57, was the founder and CEO of American Title (real estate titles)
9) James Stuart Jr. 70, Former National Bank of Commerce CEO was found dead in Scottsdale, Ariz
10) Jason Alan Salais, 34 year old IT Specialist at JPMorgan since 2008
11) Autumn Radtke, 28, CEO of First Meta, a Singapore-based virtual currency trading platform
12) Eddie Reilly, 47, investment banker, Vertical Group, New York
13) Kenneth Ballando, 28, investment banker, Levy Capital, New york
14) Joseph A. Giampapa, 55, corporate bankruptcy lawyer, JP Morgan Chase
15) Jan Peter Schmittmann, 57, voormalig topbestuurder ANB/AMRO, Laren, Nederland
16) Juergen Frick, 48, CEO Bank Frick & Co AG, Liechtenstein
17) Benoît Philippens, 37, directeur BNP Parisbas Fortis Bank, Ans, België.
18) Lydia…, 52, bankier Bred-Banque-Populaire, Parijs
19) Andrew Jarzyk, 27, bankier, PNC Bank, New York
20) Carlos Six, 61, Hoofd Belastingdienst en lid CREDAF, België
21) Jan Winkelhuijzen, 75, Commissaris en Fiscalist (voormalig Deloitte), Nederland.
22) Richard Rockefeller, 66, achterkleinzoon elitebankier John D. Rockefeller, Amerika
23) Mahafarid Amir Khosravi (Amir Mansour Aria), 45, bankeigenaar, zakenman en derivatenhandelaar, Iran
24) Lewis Katz, 76, zakenman, advocaat en insider in de bancaire wereld, Amerika
25) Julian Knott, Directeur Global Operations Center JP Morgan, 45, Amerika
26) Richard Gravino, IT Specialist JP Morgan, 49, Amerika
27) Thomas James Schenkman, Managing Director Global Infrastructure JP Morgan, 42, Amerika
28) Nicholas Valtz, 39, Managing Director Goldman Sachs, New York, Amerika
29) Therese Brouwer, 50, Managing Director ING, Nederland
30) Tod Robert Edward, 51, Vice President M & T Bank, Amerika
31) Thierry Leyne, 48, investeringsbankier en eigenaar Anatevka S.A., Israël
32) Calogero Gambino, 41, Managing Director Deutsche Bank, Amerika
33) Shawn D. Miller, 42, Managing Director Citigroup, New York, Amerika
34) Melissa Millian, 54, Senior Vice President Mass Mutual, Amerika
35) Thieu Leenen, 64, Relatiemanager ABN/AMRO, Eindhoven, Nederland
36) Geert Tack, 52, Private Banker ING, Haaltert, België
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Envolé l'or dont les Etats-Unis étaient dépositaires depuis la seconde guerre ?
Auteur : Vicky Peláez-Traduction Florence Olier-Robine | Editeur : Walt | Lundi, 08 Déc. 2014 - 15h53
« Qui contrôle l'argent contrôle le monde » Henry Kissinger
L'année 2014 entrera dans l'histoire comme l'année de
l'effondrement du système international et de l'affrontement
multidimensionnel entre les Etats-Unis, l'Union Européenne et son bras
armé, l'OTAN, face à la Russie et aux pays des BRICS [Acronyme pour les 5
principaux pays émergents : Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du
sud. Ndlt] qui se sont risqués à briser l'unipolarité d'un monde dominé
par les Etats-Unis.
En réponse à cette bravade, le Grand Patron a fixé
toute une série de mesures répressives contre la Russie et entamé une
guerre financière soigneusement planifiée en jouant avec les prix du
pétrole et des métaux précieux, notamment l'or.
Les Etats-Unis espèrent ainsi surseoir à leur
inévitable déclin économique et enrayer la diminution de leur
contribution au Produit Intérieur Brut Mondial. Actuellement, l'apport
des Etats-Unis d'Amérique au PIB Mondial se monte à 22 pour cent alors
que les prévisions montrent que celui de la Chine atteindra 18 pour cent
en 2016. Pour maintenir sa domination sur le monde, Washington cherche
donc à renforcer les deux traditionnels piliers de son hégémonie : le
pouvoir militaire et le rôle du dollar comme monnaie de réserve
mondiale.
Mais le dollar accuse une fragilité qui n'a pu être
dissimulée aux yeux du monde. Selon le journaliste financier, Bill
Holler, « l'or est au dollar ce que la kryptonite [Petite
pierre/matériau imaginaire de l'univers des « comics », en référence
directe à Superman (elle affecte ses supers pouvoirs et constitue son
talon d'achille). Ndlt] est à Superman. C'est pourquoi, à certaines
étapes de la politique monétaire, il faut maintenir les cours de l'or au
plus bas afin d'assurer la valeur du dollar. »
Tous les matins, par téléconférence entre le bureau
principal du LIBOR [Taux Inter Bancaire pratiqué à Londres. Ndlt]
(London InterBank Offered Rate) et cinq banques internationales, le prix
de l'or est établi, tout comme le taux d'intérêt de 10 autres monnaies
de réserve, qui, lui, est soumis à l'approbation de 18 des plus grandes
banques mondiales.
Il est de notoriété publique que les grandes banques
nord-américaines ont pris le contrôle du secteur financier mondial
depuis et durant la Seconde Guerre Mondiale. C'est précisément en ces
temps troublés que plus de 122 pays se virent dans l'obligation de
déplacer leurs réserves d'or à la Réserve Fédérale des Etats- Unis, plus
précisément à la Federal Reserve Bank of New York [L'une des douze
banques de la Réserve Fédérale des Etats-Unis. Ndlt] et au dépôt de Fort
Knox [Abrite la réserve d'or US depuis 1937. Ndlt] (Kentucky).
Immédiatement après le montant des réserves d'or
nord-américaines passa de 9 mille millions en 1935 à 20 mille millions.
N'oublions pas le rôle clé qu'a joué l'or, aux côtés du New Deal du
président Franklin D. Roosevelt [1882-1945 ; 32ème président des
Etats-Unis ; On lui doit notamment le New Deal, plan de relance
économique et de lutte contre le chômage, entre autres. Acteur majeur de
la Seconde Guerre Mondiale. Ndlt], dans la conclusion de la Grande
Dépression de 1929 aux Etats-Unis d'Amérique.
En effet, le 5 avril 1933 le président Roosevelt émet
l'ordre 6102 qui interdit la possession d'or pour les citoyens
américains ou étrangers résidant sur le territoire, que ce soit en
pièces, en lingots ou en certificats, les forçant à les vendre à la
Réserve Fédérale pour 20,67 dollars l'once troy d'or [Unité de mesure de
masse pour les métaux et pierres précieux. Ndlt ] (31,1 grammes). Les
contrevenants encourent une peine de prison de dix ans et une amende de
10,000 dollars. Grâce à cette seule mesure, on estime à trois mille
millions de dollars l'augmentation du Trésor US.
C'est ainsi qu'en 1944, leurs coffres remplis d'or,
du leur et de celui des autres, alors que la défaite imminente du
nazisme est déjà pressentie, Washington décide qu'il est temps de
prendre la tête du Nouvel Ordre Economique Mondial. L'annonce en est
rendue publique en juillet 1944, lors de la conférence internationale
tenue à Bretton Woods (USA). On y adopte un étalon de change-or où les
Etats-Unis sont chargés de maintenir le cours de l'or à 35,00 dollars
l'once et on leur accorde le droit de convertir des dollars en or à ce
prix, sans restrictions ni limitations. Le boom économique américain de
l'après-guerre doit aussi beaucoup à l'or accumulé par le pays.
De plus si les Etats-Unis se devaient d'être généreux
envers leurs alliés, en particulier le Japon et l'Allemagne de l'Ouest,
leur principale motivation était surtout leur souci de démontrer la
supériorité du système capitaliste sur le modèle socialiste. Presque
tout était financé par les réserves d'or mais ces largesses avaient un
prix. Et, postérieurement, quand le coût de la guerre du Vietnam les
ponctionna plus encore, elles avaient atteint un seuil critique en 1968.
Tout ceci obligea le président Richard Nixon à mettre
un terme aux accords de Bretton Woods et à désolidariser l'or du
dollar, déclarant ce dernier nouvelle monnaie de réserve mondiale.
Depuis lors, le dollar dépend exclusivement de la capacité d'impression
de la Réserve Fédérale à mettre la monnaie en circulation. On évalue
qu'aujourd'hui elle imprime un billion de dollars par an.
La domination du dollar est telle que les réserves
des Banques Centrales de 193 pays sont à 67% en dollars, environ 15% en
euros et les18% restants en devises nationales. Les Etats-Unis sont
parvenus à mettre en place un système financier international qui
protège leur économie de l'effondrement, malgré leur déficit commercial
de 500 000 millions et leur dette tant intérieure qu'extérieure de 70
millions de millions de dollars.
Les autres pays du monde sont si étroitement engagés
vis à vis de la Réserve Fédérale qu'ils ne peuvent cesser de l'alimenter
sur leurs deniers pour éviter l'effondrement de l'actuel Système
Financier Mondial. On calcule qu'environ 2,5 mille millions de dollars
rentrent chaque jour dans les caisses américaines en provenance de
sources étrangères.
Mais qu'est-il arrivé à l'or que les 122 pays avaient stocké aux Etats-Unis d'Amérique ?
Personne ne le sait vraiment. Selon la Réserve
Fédérale, en 1945 Fort Knox en était venu à stocker 20 000 tonnes d'or
qui en 2013 se réduisaient à 4175 tonnes. Dans le même temps, selon le
web officiel de la Maison de la Monnaie, il y aurait environ 5 000
tonnes métriques d'or dans les coffres de la Federal Reserve Bank of New
York (Réserve Fédérale de New York). Mais ces chiffres restent sujets à
caution, car personne n'a pu les accréditer.
Déjà dans les années Reagan, lors de l'affaire de
l'Irangate [Scandale politique des années 80 aux USA . Certains membres
du gouvernement auraient vendu des armes à l'Iran pour financer les «
Contras », mouvement contre-révolutionnaire nicaraguayen de lutte armée
regroupant les opposants au régime sandiniste de Daniel Ortega. Il
s'agissait donc bien de renverser un régime politique dit « communiste
». Ndlt], les Etats-Unis, par manque de liquidités, avaient du recourir
au narcotrafiquant bolivien Roberto Suárez Gómez pour commercialiser 500
tonnes de cocaïne sur le sol américain afin de financer les Contras et
en finir avec le sandinisme au Nicaragua.
Ce qui est arrivé à l'or déposé dans les caves
souterraines des 5 et 7 WTC après la tragédie du 11 septembre 2001,
demeure également un mystère. En effet, il devait s'y trouver, selon les
informations officielles pour environ 1000 millions de dollars en or.
Et seuls 230 millions ont été retrouvés. Par ailleurs, l'hebdomadaire US
American Free Press a publié le 27 août 2011 une interview de l'ex
parrain de la mafia Tony Gambino qui déclare « je sais que le
gouvernement de George W. Bush non seulement avait connaissance, mais a
aussi contribué à organiser le 11 septembre aux fins de, premièrement
provoquer une guerre en Irak, deuxièmement s'emparer de l'or caché sous
le World Trade Center ».
En février 2014, le républicain membre du Congrès
Paul Ron tira la sonnette d'alarme quand il déclara que depuis 40 ans il
n'y avait eu ni audit à Fort Knox ni accès autorisé à aucun des membres
du Congrès qui aurait pu permettre de s'assurer de l'existence de l'or.
Durant la séance, il parvint même à mettre en doute la réalité des
richesses supposées à Fort Knox ou à la Banque de Réserve de New York.
Une tentative avortée de l'Allemagne pour rapatrier 300 des 1 560 tonnes
conservées à New York décupla les doutes quant aux stocks d'or aux
Etats-Unis. En définitive, l'Allemagne n'a recouvré que 34 tonnes et la
promesse de livrer les 266 tonnes restantes dans les sept ans à venir.
L'ex sous-secrétaire du Trésor, Paul Craig Roberts,
ajoute « les Etats-Unis d'Amérique ne détiennent pas d'or et ne peuvent
donc le restituer, c'est pourquoi l'Allemagne a été sommée d'entériner
cette situation et de cesser de réclamer ce qui lui appartient. Les
Etats-Unis ont fait pression sur leur Etat allemand pantin pour qu'il
taise la vérité et fasse paraître un communiqué modifié. »
De par la crise économique que traversent les
Etats-Unis, on pourrait en conclure que le Grand Patron a dilapidé son
or et celui des autres, mais à ce jour, personne n'est réellement en
mesure de savoir ce qu'il se passe dans les profondeurs de Fort Knox et
dans celles de la Banque de Réserve Fédérale. Entre temps de nombreux
pays font tout leur possible pour rapatrier leur or en pensant à
l'avenir compliqué qui se profile.
Il y a quelques années, l'ex président Hugo Chávez
réussit à recouvrer 39 des 300 tonnes du trésor vénézuélien dont les
Etats-Unis étaient dépositaires.
Mais, qu'en sera-t-il pour les autres pays ?
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ALERTE ! Les banksters s’apprêtent à supprimer les emprunts à taux fixe
Auteur : Victor | Editeur : Walt | Dimanche, 07 Déc. 2014 - 09h59
La crise des « subprimes »,
vous vous souvenez ? Oui, mais en fait késaco ? Ce sont des banques
étazuniennes qui ont prêté généreusement de l’argent pour acheter leur
maison à des gens modestes baratinés par des courtiers voyous.
Seulement ces prêts,
alléchants au départ, étaient des prêts à taux variable. Qui ont – on
s’en doute – varié dans le sens d’une augmentation vertigineuse.
Résultats : les emprunteurs incapables de rembourser, les maisons
saisies par les organismes bancaires, ces prêts pourris noyés dans des
titres, ces titres refilés aux banques, des banques qui perdent du
pognon et viennent pleurer dans le giron de l’État, l’État qui renfloue
les banksters et qui va chercher le pognon dans la poche des
contribuables. La crise quoi… La routine.
En France lorsque
vous voulez acheter votre maison ou votre appartement, vous négociez
avec votre banquier ou un organisme de prêt un emprunt à taux fixe.
C’est-à-dire que sur 20 ans, vous savez que vous paierez tant par mois,
ni plus, ni moins. Vous pouvez organiser votre investissement sur la
durée.
Il faut savoir que
votre banque vous prête du pognon qu’elle n’a pas, en vertu du principe
même de cette activité d’escrocs appelée « activité bancaire » : une
banque n’est obligée d’avoir en caisse (en fonds propres comme ils
disent, ce qui laisse entendre que le reste est sale? !) que 8% du
montant du prêt qu’elle accorde. Où prend-elle alors le pognon
nécessaire ? Ce sont les dépôts des clients (dans les banques de dépôt)
et si nécessaire elle l’emprunte à la Banque Centrale Européenne (en
zone Euro, ce qui nous intéresse) actuellement à taux proche de zéro.
Mais si votre taux de remboursement est fixe, le taux de ré-emprunt de
la banque peu varier. Á la hausse comme à la baisse. La banque prend
donc un risque. Oh ! Le gros mot ! Eh bien c’est ce risque (très
théorique car les banques s’en préservent à travers des systèmes
compliqués d’assurance – les « SWAP de taux » – qu’elles font payer
quelque part à leurs clients? !), ce risque donc, les banques ne veulent
plus l’assumer. Pour ce faire, la combine est de remplacer les prêts à
taux fixe par des prêts à taux variable. Autrement dit transférer le
risque sur l’emprunteur. Ben voyons !
C’est le Comité de
Bâle , organisme où sont traités, quatre fois par an, les sujets
relatifs à la supervision bancaire, qui est chargé d’imposer ce
changement radical. Sous la pression des banksters anglo-saxons qui
tiennent la finance mondiale. Il faut savoir que ce système à taux fixe
est une très positive exception française. Il faut donc la foutre en
bas.
Ce méfait –
catastrophique pour la marché immobilier français – devrait être décidé
avant la fin de l’année pour une mise en place dès 2015. Attendez-vous
donc à une visite mielleuse de votre banquier qui va tenter de vous
enfumer en vous faisant miroiter les « avantages » des taux variables !
ATTENTION ! MEFFI ! Et faites-le savoir.
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La guerre froide du XXIe siècle a commencé ; La Chambre des représentants adopte la résolution 758
Auteur : Esther Tanquintic-Misa | Editeur : Walt | Samedi, 06 Déc. 2014 - 11h40
… les USA disent à la Russie d’arrêter de s’auto-isoler
Les États-Unis ont effectivement appuyé
sur le bouton de la guerre froide du XXIe siècle. Jeudi, la Chambre des
représentants a adopté la résolution 758, un décret disant que les
Etats-Unis, l’Europe et leurs alliés « doivent garder la pression de
manière agressive » sur la Russie et son président Vladimir Poutine,
jusqu’à ce que ces mesures « modifient son comportement ».
Mercredi, le Président américain Barack
Obama a affirmé que M. Poutine est « en train de complètement isoler la
Russie sur la scène internationale » et qu’il sait que le dirigeant
russe ne va pas « soudainement changer son état d’esprit… C’est une des
raisons pour lesquelles nous allons continuer à maintenir cette pression
». Le Secrétaire d’Etat américain, John Kerry a exhorté la Russie à ne
pas s’isoler, lors d’une réunion des 57 membres de l’Organisation pour
la sécurité et la coopération en Europe dans la ville de Bâle au nord de
la Suisse. La résolution 758 avait demandé le renforcement de l’OTAN et
des ventes de gaz naturel étatsunien à l’Europe, sous-entendu, au
détriment des exportations énergétiques russes.
La résolution a également donné au
gouvernement du Président ukrainien Petro Poroshenko le signal de départ
pour lancer des actions militaires contre les « séparatistes » dans
l’est de l’Ukraine. La résolution 758 a appelé le Président américain à «
fournir au gouvernement ukrainien du matériel de défense, des services
et des formations pour défendre efficacement son territoire et sa
souveraineté ».
« Ce n’est pas seulement une déclaration
de guerre froide US contre la Russie mais c’est aussi une déclaration
de guerre de Kiev contre Donetsk et Lougansk, », a déclaré à RT News
Daniel McAdams, directeur exécutif à l’Institut Ron Paul. La résolution
758, décrite comme un décret qui condamne fermement les actes
d’agression de Moscou contre ses voisins, est un document qui ouvre la
boîte de Pandore des conflits militaires mondiaux.
McAdams a déclaré qu’il trouvait la
résolution comique dans le sens qu’en accusant la Russie d’organiser des
élections frauduleuses en Ukraine, elle justifiait une guerre totale,
engageant les forces des Etats-Unis et de l’OTAN alors que, en fait,
l’Ukraine n’est pas membre de l’OTAN. Il a ajouté que le projet de loi
mentionne le chapitre cinq du traité de l’OTAN plusieurs fois, mais ce
n’est pas sûr que le Congrès comprenne ce que cela signifie. Sous le
couvert de la résolution 758, la Chambre des représentants a exhorté M.
Obama à vérifier et examiner l’état de préparation des forces armées
américaines et de l’OTAN à la lumière du Traité sur les Forces armées
conventionnelles en Europe (FCE).
Jeudi, M. Poutine a dit que la
résolution 758, qu’il a décrite comme une « politique de dissuasion »
contre la Russie par les autres États, venait juste d’être formellement
instituée. Mais il croit que la politique de dissuasion a toujours été
en place vis-à-vis de la Russie « depuis des décennies, voire des
siècles » et devait être immédiatement activée si les autres Etats
sentaient que la Russie devenait trop puissante et indépendante.
Il a fustigé les États-Unis, leur
reprochant de manipuler les relations entre les voisins de la Russie. «
Parfois vous ne savez même pas à qui il vaut mieux s’adresser : les
gouvernements de certains pays ou directement à leurs patrons américains
». US House Resolution 758 a été adopté à une écrasante majorité 411 –
10 par le 113ème Congrès.
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Il ya un tueur qui rôde dans votre cuisine….
Auteur : Healthy holistic living | Editeur : Walt | Samedi, 06 Déc. 2014 - 15h31

Au moins, il y en a un si vous cuisinez avec des ustensiles de
cuisine antiadhésifs en Téflon. Les ustensiles de cuisine en Téflon,
lorsqu’ils sont chauffés à une température élevée (lors de la cuisson,
par exemple) peuvent dégager des vapeurs qui sont nuisibles à l’homme et
mortel pour les oiseaux de compagnie. Les canaries ont été utilisés
dans les mines de charbon pour déterminer la qualité de l’air – s’ils ne
pouvaient pas respirer ou sont morts subitement, les mineurs savaient
que la qualité de l’air était dangereuse et qu’ils avaient besoin de
sortir immédiatement. Chaque année, des centaines d’oiseaux de
compagnie, capotent et sont précipités chez le vétérinaire. La cause de
la mort est la même dans tous les cas – la toxicité du Téflon.
Les fabricants de cet ustensile de cuisine continuent d’insister que
c’est sans danger – vous devez juste garder vos oiseaux hors de la
cuisine!
Pensez-vous vraiment vouloir que votre famille respire des vapeurs qui peuvent carrément tuer un petit animal?
Pourquoi les ustensiles traités avec du Téflon sont si dangereux? La
réponse est simple; ils sont faits avec des produits chimiques que le
corps humain n’a jamais été destiné à ingérer. Les produits chimiques
avec des noms à ralonge comme l’acide perfluorooctanoïque (PFOA). Ces
produits chimiques sont libérés si vous chauffez vos ustensiles de
cuisine en Téflon sur un feu trop fort ou chauffez la poêle sans
nourriture dedans. À seulement 600 degrés, les poêles en Téflon libèrent
de multiples produits chimiques, des produits cancérigènes, et des
polluants. À 1000 degrés, le Téflon libère du PFIB, qui est également
utilisé comme agent neurotoxique. Le Téflon lui-même,
ou polytétrafluoroéthylène, était à l’origine un sous-produit des déchets de la production de fréon.
Combien d’entre vous n’ont jamais brûlé un plat ou accidentellement
préchauffé le four avec vos poêles à l’intérieur? Il n’en faut pas
beaucoup pour atteindre ces températures, et il ne suffit que d’un
incident pour exposer votre famille à des gaz dangereux.
Si vous êtes propriétaire d’un oiseau, le Téflon tue – même à des
températures de cuisson normales. Pas d’erreur humaine ou de surchauffe
nécessaire – Le fait de simplement utiliser cet ustensile de cuisine
toxique est suffisant pour tuer votre précieux animal de compagnie. Les
fumées dégagées sont souvent nocives pour les oiseaux, et sont
généralement fatales. L’exposition aux vapeurs de téflon après avoir
chauffé une poêle à seulement 400 degrés peut aussi provoquer des
symptômes de la grippe chez l’homme. Ce problème de santé est connu sous
le nom de fièvre des polymères, et est rejeté par DuPont (le créateur
du Téflon) comme problème de santé mineur.
Contrairement à certains polluants chimiques, les substances
chimiques libérées par le Téflon ne font qu’empirer au fil du temps. Les
poêles étaient faites en matériaux bon marché dans le passé, et étaient
souvent émiettées et ébréchées. En fait, les études montrent qu’avec le
vieillissement des ustensiles de cuisine, la quantité de composés
chimiques libérés dans les aliments augmentent – donc si vous cuisinez
avec des vieilles poêles antiadhésives, vous respirez non seulement les
fumées, mais vous ingérez aussi des produits chimiques avec vos
aliments. Cela peut mener à des niveaux dangereux de polluants chimiques
dans votre environnement et à la fois dans votre alimentation. En fait,
la plupart des gens ont des produits chimiques provenant du téflon dans
leur sang.
Malheureusement, il n’existe actuellement aucune réglementation
gouvernementale concernant les ustensiles de cuisine. Les poêles
antiadhésives en Téflon sont parfois accompagnées de l’avertissement
d’éloigner les oiseaux, mais les consommateurs sont malheureusement peu
renseignés sur les dangers des ustensiles antiadhésifs. Les vétérinaires
rapportent des centaines de morts d’oiseaux chaque année dues à la
toxicité du Téflon – souvent, les propriétaires d’oiseaux n’avaient
aucune idée qu’un tel objet quotidien courant pourrait être si dangereux
pour leur ami à plumes.
L’essentiel est ceci – évitez d’utiliser des ustensiles de cuisine en
Téflon à tous prix. Méfiez-vous particulièrement des casseroles ou des
poêles anciennes en Téflon qui ont été rayées, bosselées, ou
endommagées, car elles peuvent libérer encore plus de produits toxiques
dans votre nourriture. Chaque année, de nouvelles recherches prouvent le
danger des polluants chimiques que ces ustensiles de cuisine libèrent,
et je ne m’attends pas à ce que les conséquences s’arrêtent de sitôt.
Jusqu’à ce que le gouvernement prenne des mesures, les consommateurs
sont chargés de se protéger eux-mêmes et leur famille. Cela signifie que
c’est à vous de garder ce tueur loin de votre famille et des animaux
domestiques.
Heureusement, il existe de nombreux types d’ustensiles de cuisine
disponibles sans produit chimique. Les ustensiles de cuisine en terre
cuite et en verre sont excellents pour la cuisson. Les poêles en acier
inoxydable et en cuivre sont également préconisées par de nombreux
cuisiniers, y compris des chefs professionnels. Les casseroles et les
poêles en fontes sont résistantes, faciles à entretenir, et s’améliorent
avec le temps – une poêle en fonte bien assaisonnée est un plaisir à
utiliser et colle rarement.
Les 2 meilleures alternatives:
L’acier inoxydable est une alternative formidable à une surface de
cuisson antiadhésive. La plupart des chefs conviennent que l’acier
inoxydable dore mieux les aliments que les surfaces antiadhésives.
La fonte reste une excellente alternative aux surfaces de cuisson
antiadhésive. Lodge, le plus ancien fabricant d’ustensiles de cuisine
d’Amérique, fait référence à ses ustensiles de cuisine comme « des
antiadhésifs naturels ». La fonte est extrêmement durable et peut être
pré-chauffée à des températures qui vont faire dorer la viande et peut
supporter des températures du four bien au-dessus que ce qui est
considéré comme sûr pour les poêles anti-adhésives.
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10 remèdes naturels pour lutter contre les brûlures d'estomac
Auteur : Le Vif (Belgique) | Editeur : Stanislas | Samedi, 06 Déc. 2014 - 06h33
On les appelle communément brûlures d'estomac, mais les reflux
gastro-oesophagiens sont bien plus qu'une gêne après avoir trop mangé de
pizza. Ils sont diagnostiqués comme tels quand les aliments, les
acides, la bile ou les sucs pancréatiques remontent le long de
l'oesophage à une fréquence supérieure à deux fois par semaine. Et ce
mal de toucher une large partie de la population, chroniquement ou
occasionnellement.
Cette remontée acide provoque une inflammation, une irritation puis
une cicatrisation, ce qui peut réduire le diamètre de l'oesophage. Les
symptômes sont une voix rauque, les aliments qui se coincent, les
sensations de brûlure, d'irritation, de nausée, la toux, une respiration
sifflante, des symptômes d'asthme ou l'érosion accélérée de l'émail
dentaire. Mais ces RGO augmentent également les risques de développer un
cancer de l'oesophage.
À l'origine, de ce mal, les fonctions de l'oesophage et du sphincter
oesophagien qui se relâchent (sous l'effet de l'alcool, la nicotine, la
caféine, les aliments gras ou épicés), en particulier chez les personnes
en surpoids ou sujets à la graisse abdominale.
Bien sûr, les conseils qui suivent ne se substituent en rien à
l'expertise d'un médecin. Toutefois, ils peuvent soulager en cas de
désagréments occasionnels.
Voici 10 moyens naturels pour lutter contre ce reflux gastrique qui vous gâche la vie.
1. Perdre du poids. Les études montrent perdre 10 % de masse graisseuse peut améliorer les symptômes de reflux.
2. Commencer un "régime anti-reflux", qui consiste à
éliminer les produits causes du mal. Mais ne vous emballez pas trop,
selon les spécialistes, contrôler son alimentation ne ferait la
différence que pour un tiers des patients. De plus "le problème est que
la plupart des gens préfèrent mourir que de suivre ce régime pour le
reste de leur vie."
3. Manger des amandes crues, un aliment alcalin qui peut équilibrer votre pH, et une bonne source de calcium
4. Boire 30 ml de jus d'aloe vera pur chaque jour
5. Au lever, boire une tasse d'eau chaude et de jus
de citron frais. Cette boisson dans un estomac vide 15 à 20 minutes
avant le petit déjeuner permet au corps d'équilibrer naturellement ses
niveaux d'acidité. Cela aide à la digestion et est sans danger .
Idéalement, boire cette boisson à la paille, afin de ne pas mettre en
contact ce breuvage acide et l'émail de vos dents.
6. Mélanger une cuillère à soupe de bicarbonate de soude dans une demi-tasse d'eau. Pas très bon, mais efficace.
7. Boire chaque jour 1 à 2 cuillères à café de
vinaigre de cidre. Par exemple mélangé à du miel dans le thé ou à la
place de citron dans le thé. "Beaucoup de gens croient à tort que le
reflux acide et l'indigestion sont causés par une surproduction d'acide.
Or les dernières recherches démontrent que c'est en fait le contraire
chez beaucoup de gens, c'est-à-dire qu'ils produisent trop peu d'acide
pour digérer correctement les aliments consommés". Ainsi pickles,
choucroute et autres aliments très acides aident également à stimuler la
production d'acide.
8. La camomille, la menthe ou le thé de fenugrec peuvent aider à réduire les symptômes de reflux acide.
9. Mâcher un chewing-gum après les repas permet
d'augmenter la production de salive, ce qui permet réduire les niveaux
d'acide dans l'oesophage, selon les recherches menées.
10. Dormir sur le côté gauche. En effet, les études
prouvent que dormir sur le ventre ou sur le côté droit peut causer une
pression supplémentaire qui augmente les symptômes de reflux
gastro-oesophagien.
Mais aussi,
Cesser de fumer
Ne pas porter de vêtements trop serrés
Ne pas faire d'exercice juste après un repas
Ne pas s'allonger juste après un repas
Ne pas manger durant les 3h précédant le coucher
Élever la tête de votre lit si vous êtes sujet au reflux la nuit
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Alarme Chine aux USA : Vers une confrontation en 2015?
Auteur : Manlio Dinucci | Editeur : Walt | Dimanche, 30 Nov. 2014 - 14h20
Depuis
2001, le Pentagone prévoyait de se trouver en capacité de guerre avec
la Chine, aux environs de 2015. Cependant, le transfert des troupes du
Golfe et d’Europe vers l’Extrême-Orient a été considérablement retardé à
la fois par la Résistance au Levant, soutenue par l’Iran, et par la
Russie en Europe. Pendant ce temps, le développement de la Chine a été
plus rapide que prévu. Par conséquent, observe Manlio Dinucci,
l’US-China Economic and Security Review Commission a sonné l’alerte : il
est temps pour Washington d’agir contre Pékin s’il veut conserver sa
domination sur le monde.
Le gouvernement chinois a recours à des pratiques
commerciales « déloyales », en stimulant l’économie et les exportations
par des aides publiques au lieu d’entreprendre de « substantielles
réformes économiques » : c’est la première accusation contenue dans le
rapport présenté en novembre au Congrès des États-Unis par la US-China
Economic and Security Review Commission.
Malgré l’augmentation de l’exportation états-unienne en Chine, le
déficit des États-Unis dans les échanges commerciaux avec la Chine est
monté en 2013 à 318,4 milliards de dollars, et continue à augmenter. Il
s’agit du plus haut déficit enregistré, à l’échelle mondiale, dans les
échanges commerciaux entre deux pays. La valeur des produits « made in
China » importés par les États-Unis dépasse de quatre fois celle des
produits « made in USA » exportés en Chine. Ceci a contribué à
provoquer, de 2001 à 2014, une chute de 29 % de l’emploi dans le secteur
manufacturier états-unien.
La même Commission doit cependant reconnaître que cela est dû au fait
que les multinationales états-uniennes ont délocalisé de nombreuses
productions en Chine (où elles trouvent une main d’œuvre à moindre coût
et d’autres avantages), en en retirant de notables « bénéfices »,
pendant que ce sont les travailleurs états-uniens qui en subissent les
« conséquences négatives ». Même si on observe une récupération
partielle d’emplois à la suite des investissements chinois aux USA, qui
ont dépassé en 2014 les investissements états-uniens en Chine.
Des sociétés chinoises sont de plus en plus présentes aussi, avec
leurs propres investissements, en Europe, Asie, Afrique et Amérique
latine, en offrant des conditions largement plus favorables par rapport à
celles des multinationales états-uniennes.
En d’autres termes, contrairement à ce qu’ils souhaitaient, les
États-Unis ne sont pas arrivés à assujettir la Chine à leur mécanisme
d’exploitation néocoloniale, comme une simple source de main d’œuvre à
bas prix, et de marché pour leurs produits. Et ils n’ont pas obtenu la
complète « libéralisation » de l’économie chinoise qui —souligne la
Commission— est encore « dominée par des entreprises de propriété
publique » : de ce fait les États-Unis « ne reconnaissent pas à la Chine
le statut d’économie de marché ».
La Commission se déclare préoccupée aussi par la modernisation des
forces armées chinoises et par l’augmentation consécutive du budget
militaire, qui a grimpé à 131 milliards de dollars en 2014. Mais elle ne
dit pas que les États-Unis, avec une population quatre fois inférieure à
celle de la Chine, ont une dépense militaire qui (postes extra
budgétaires au Pentagone compris) se monte à quasiment 1000 milliards de
dollars annuels. Et elle ne dit pas non plus que, tandis que les
États-Unis ont, selon les données officielles du Pentagone, 576 bases
militaires à l’étranger (plus de nombreuses autres à leur disposition),
les bases militaires chinoises ne se trouvent que sur le territoire
chinois. Et autour de la Chine justement s’étend un réseau de bases
étasuniennes.
La Commission recommande au Congrès d’augmenter les attributions
financières de façon que les États-Unis puissent accroître leur présence
militaire dans la région Asie/Pacifique pour « contrebalancer les
capacités militaires croissantes de la Chine ». Seront accrues les
forces du Commandement du Pacifique (PaCom), qui dispose actuellement de
360 000 militaires, 200 navires et 1 500 avions. Selon les plans du
Pentagone, d’ici 2020 seront concentrés dans le Pacifique 60 % des
navires et des bases de l’U.S. Navy.
« Les États-Unis —souligne le Pentagone dans la Quadrennial Defense
Review 2014— ont contribué, notamment dans les six dernières décennies, à
la paix et à la prospérité de la région Asie-Pacifique ». En témoigne
le massacre de plus d’un demi-million d’Indonésiens dans le coup d’État
organisé par la CIA en 1965, et de 2-3 millions de Vietnamiens dans la
guerre conduite par les USA dans les années 60 et 70.
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12 choses que les femmes aiment faire seules (loin de leurs maris et de leurs enfants) !
Auteur : ZE Journal | Editeur : Stanislas | Jeudi, 27 Nov. 2014 - 04h26
Etre
une femme, et encore plus, une mère, c'est un vrai travail à plein
temps. Ce quotidien très prenant et assez pesant laisse de temps en
temps quelques portes de sorties : c'est quand les
hommes et les enfants ne sont pas là. Mais qu'aiment faire les femmes
quand elles sont seules ? Voici la réponse :
1. Manger sans partager
Parfois on veut juste croquer dans une bonne barre au
chocolat sans devoir la casser pour en donner la moitié. Est-ce que
c’est possible de siroter un petit jus de fruit sans subir les requêtes
constantes des enfants ? Ce genre de moments devrait être un droit, pas
un privilège. Quand on est toute seule, tout est à nous !
2. Regarder de la téléréalité
De temps en temps on aime regarder des programmes dont on
n’est pas vraiment fier. Secret Story, Les Anges de la Téléréalité, Le
Bachelor, etc… En général, le problème est que ces émissions ne sont pas
adaptées pour de jeunes enfants, et que nos mecs nos jugent tellement
qu’on en profite même pas. La joie et la paix que peuvent vous apporter
ce type de shows quand vous les regardez seule sont un vrai bonheur !
3. Profiter de ne pas être touchée, enlacée ou embrassée par quelqu’un.
Évidemment, l’affection que vous donnent votre mari et vos
enfants si vous en avez est très important pour vous. Ils font votre
bonheur c’est normal, mais la question n’est pas là. Parfois, on a juste
besoin de 20 ou 30 minutes pendant lesquelles personnes ne nous
approchent.
4. Prendre soin de soi
Les moments en famille, c'est sacré ! On a certes des
défauts, mais pas au point d'enfermer les gosses dans leur chambre pour
se faire les ongles, s'épiler ou se faire un masque. Là encore, quand on
prend soin de nous, c'est que tous les facteurs le permettent, en
d'autres termes : qu'on est seule à la maison.
5. Aller au magasin et caresser doucement les produits de beauté sans que personne ne cri ou pleure d’impatience.
Aller chez Yves Rocher ou Sephora seule, c’est un sentiment
de liberté, c’est comme sortir de prison. On se sent tellement léger
qu’on ne sait pas par où commencer ! On prend le temps de s’attarder
dans chaque rayon, de comparer les produits, c’est magnifique. Et il n’y
a personne pour vous stresser en disant “aller chérie, le match va
bientôt commencer.” On est LIBRE !
6. S'asseoir sur le canapé et profiter d’une maison propre le temps d’une seconde ou deux
Bientôt, votre homme et vos enfants seront de retour à la
maison. Dans quelques minutes, par un phénomène que la science
n’explique pas, leur simple présence va retourner la maison. Et votre
travail avec. En attendant, on s’assoit et on se réjouit d’avoir une
maison nickel. C’est tout ce qu’on peut faire…
7. Passer du temps aux toilettes sans être interrompu
Vous ne réalisez pas à quel point cela vous manque jusqu’à
ce que vous mettiez au monde les petits monstres qui feront le siège de
vos toilettes et de votre salle de bain. Donc quand vous êtes toute
seule, vous en profiter et voyez cette activité comme un réel
échappatoire. Est-ce que je dois prendre Cosmo ou Vogue ? Ou peut-être
je vais aller sur Facebook. On a du temps pour faire notre affaire en
paix, les possibilités sont infinies !
8. Prendre une longue et chaude douche, sans que
personne toque à la porte ou vous pose des questions auxquelles vous
n’avez pas envie de répondre
Une douche bien chaude est un vrai rêve ! Bien sûr, on
adore l'intimité sexuelle avec notre partenaire, mais de temps en temps,
on veut juste que notre nudité n’excite personne et qu’on puisse être
tranquille. Se mettre nue avant d’aller à la douche n’est pas tout le
temps une proposition, ok ? On doit juste se raser les jambes et prendre
soin de nous en tentant de ne pas rater notre rendez-vous de 11h.
9. Aller au Starbucks
Le plaisir d’aller chez Starbucks seule est suffisant pour
rendre une femme heureuse. Il n’y a personne qui regarde ce que vous
prenez, mais surtout, personne qui va faire un scandale si vous ne
commandez pas pour 20 euros de cookies et de smoothies. Vous êtes le
seul maître à bord, et vous en profitez.
10. Se débrouiller sans l’aide des petits monstres
Parfois, les enfants veulent aider les parents ce qui
permet de leur enseigner les tâches ménagères, la générosité, les bonne
manières, la responsabilité, etc… Mais de temps en temps, une femme veut
simplement se débrouiller toute seule pour aller plus vite et ensuite
pouvoir se reposer. C’est comme quand votre enfant vous demande s’il
peut pousser le caddie, vous savez que ce n’est pas une bonne idée : il a
beaucoup plus de chances que vous de renverser un panneau ou d’écraser
les pieds d’une mamie.
11. Dormir
Dormir seule après des années d’équilibre sur le bord du
lit pour ne pas tomber pendant que votre partenaire ronfle toute la nuit
comme un avion au décollage, c’est un bonheur sans nom. Et non, je
n’exagère pas !
12. Passer des heures au téléphone avec ses copines
Avoir de longues conversation avec les copines, c'est pas
tous les jours facile quand on a un mari et des enfants. Alors
évidemment, quand tout le petit monde est en vadrouille, on se jette sur
le téléphone. On fait le tour de nos relations, on se raconte les
weekends, les plans pour la semaine, mais surtout, les potins !
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Gros abus: des firmes pharmaceutiques s’entendent pour nous faire payer un même médicament 800€ au lieu de 40€!
Auteur : RTL Info | Editeur : Walt | Jeudi, 27 Nov. 2014 - 03h49
Les
patients souffrant des yeux ne peuvent plus être traités avec le
médicament Avastin, dont le coût s'élève à 40 euros, même si celui-ci
est aussi efficace que le Lucentis, qui coûte 800 euros. Les firmes
fabriquant les deux solutions se sont entendues afin de faire plus de
bénéfices. Test-Achats et des organisations de consommateurs espagnole,
portugaise et française ont déposé une plainte contre les producteurs
des deux médicaments, rapportent De Standaard et Het Nieuwsblad
mercredi.
Le coût d'une injection dans l'oeil de Lucentis s'élève à 800 euros,
tandis que celle d'Avastin ne coûte qu'une quarantaine d'euros. Les deux
médicaments sont chimiquement liés et fonctionnent de manière
équivalente pour freiner la perte de vision lors de "dégénérescence
maculaire liée à l'âge" (DMLA), une affection oculaire qui affecte
principalement les personnes âgées de plus de 65 ans. Les médecins sont
néanmoins obligés d'utiliser le médicament le plus onéreux. Plusieurs
associations de consommateurs européens, dont Test-Achats, ont dès lors
introduit une plainte auprès des autorités nationales de la concurrence.
Selon ces organisations, les firmes pharmaceutiques qui produisent
ces médicaments se sont entendues afin d'empêcher l'utilisation du
médicament le moins cher. De cette manière, elles peuvent faire plus de
bénéfices sur les traitements. Les autorités, qui doivent financer le
médicament dont le prix est vingt fois plus élevé, sont le dindon de la
farce.
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Vers un Nouvel Ordre Mondial ? Mais, il est déjà là !
Auteur : Bryan MacDonald-Traduction c.l. | Editeur : Walt | Mardi, 25 Nov. 2014 - 04h25
Poutine
a exprimé le souhait d'un « nouvel ordre du monde » capable d'assurer
la stabilité de la planète. Il trouve que les États-Unis abusent de leur
rôle de leader mondial. Ce qui n'a pas été suffisamment signalé nulle
part, c'est que les piliers de « l'ancien régime » s'écroulent depuis
des années.
Tout était pourtant si simple. Le monde était partagé
en deux camps – l'Occident et le reste. Et « l'Ouest » était vraiment «
the best ». Il y a 20 ans, six des économies les plus puissantes
faisaient partie du camp pro-Washington.
Le leader – les USA eux-mêmes – était si loin en
tête, que son Produit Intérieur Brut (PIB) était quatre fois plus grand
que celui de la Chine et valait neuf fois celui de la Russie.
Le pays le plus peuplé du monde – l'Inde – avait
presque le même revenu que la comparativement minuscule Italie et que le
Royaume Uni. L'idée que cet ordre de choses allait changer aussi
dramatiquement en à peine deux décennies aurait fait rire n'importe qui.
Aux yeux des Occidentaux, la Chine et l'Inde étaient des pays
arriérés, et il leur faudrait un siècle au bas mot pour devenir des
rivales potentielles. La Russie, elle, était perçue comme un cas
désespéré, un pays à genoux, en proie au chaos. De telles notions, dans
les années 90 étaient parfaitement justifiées.
L'économie mondiale dans les années 1990 et aujourd'hui.
Tableau des dix économies mondiales les plus importantes, ajustées selon la Parité en Pouvoir d'Achat (PPA).
1995 ( en milliards d'US$)
1. USA 7.664
2. Japon 2.880
3. Chine 1.838
4. Allemagne 1.804
5. France 1.236
6. Italie 1.178
7. Royaume-Uni 1.161
8. Inde 1.105
9. Brésil 1.031
10. Russie 955
2015 (Prévisions du FMI)
1. Chine 19.230
2. USA 18.287
3. Inde 7.883
4. Japon 4.917
5. Allemagne 3.742
6. Russie 3.643
7. Brésil 3.173
8. Indonésie 2.744
9. France 2.659
10. Royaume-Uni 2.547
Le soleil couchant US
Maintenant, c'est l'Occident qui fait les frais de la
plaisanterie. Le Fonds Monétaire International (FMI) estime que, dès
2015, les quatre plus puissantes économies du monde seront des membres
du club connu par son acronyme, BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine,
Afrique du Sud), et la Chine sera tête de file à la place des USA. C'est
même probablement déjà le cas, les chiffres, en économie, ayant
tendance à traîner derrière les faits.
L'Italie, homme malade de l'Europe, ne fait plus partie des dix du
peloton de tête, et le Royaume-Uni, lanterne rouge, peine à s'y
accrocher. Londres prétend toujours au titre de place financière
centrale. Les seuls qui le croient encore sont les petits Anglais (« the
little Englanders »). Le Royaume Uni est devenu la Julie Andrews de la
géopolitique : une étoile en voie d'extinction, qui fut jadis brillante.
La France est impuissante, se traînant de crise en infortune et
d'infortune en crise.
Le Président US Barak Obama et la Chancelière allemande Angela Merkel
Il est trop tôt pour mettre les États-Unis au rebut.
L'Empire ne va pas disparaître d'un jour à l'autre, mais son soleil est
déjà bien bas dans le ciel. C'est moins la faute des États-Unis que
celle de la déchéance croissante de ses alliés traditionnels.
Les deux seuls qui tiennent encore debout sont
l'Allemagne et le Japon, aucun des deux n'étant cependant des acteurs
militaires sérieux. La Grande Bretagne et la France ont longtemps été le
fer de lance des aventures martiales. En réalité, l'Allemagne n'est pas
un partenaire follement enthousiaste, parce qu'une large frange de la
classe politique de Berlin est extrêmement sceptique à l'égard du
pouvoir US. Pour une partie très significative de l'intelligentsia
allemande, c'est Moscou le partenaire naturel, pas les États-Unis.
La montée en puissance des BRICS et d'autres économies émergentes
joue un rôle majeur dans la consommation mondiale, dans le commerce
mondial et dans les investissements mondiaux. D'ici 2020, le FMI estime
que la Russie aura dépassé l'Allemagne et que l'Inde aura surclassé le
Japon. Il prévoit également une dégringolade de l'importance mondiale
des USA, de 23,7% en 2000 à 16% en 2020. En 1960, les USA représentaient
38,7% de l'économie mondiale. À l'opposé, en 1987, la Chine ne
représentait que 1,6%, mais à la fin de cette décennie, elle pourra en
revendiquer 20%. C'est un changement de donne sans précédent en un laps
de temps aussi court.
Importance de la stabilité
Le discours de Poutine à Valdai n'a pas été un coup donné au pif ni à
l'aveuglette, mais une évaluation très nuancée de ce qu'est
actuellement l'équilibre du monde et de ce vers quoi on se dirige dans
les années qui viennent.
Le Président russe Vladimir Poutine, pendant la
rencontre plénière finale de la 11e session du Club de Discussion
International de Valdai, à Sotchi
Plutôt que de se préoccuper des questions soulevées
par Poutine, les médias occidentaux ont préféré shooter dans l'homme et
se désintéresser de la balle. Les éditoriaux ont qualifié son discours
de « diatribe » et décrété que Poutine s'en est surtout pris à la
politique étrangère des États-Unis, jugée par lui anti-russe. Ils sont
passés en masse à côté de la question réelle.
Le souci principal de Poutine, c'est la stabilité et
sa prévisibilité, c'est-à-dire l'exacte antithèse du libéralisme
occidental moderne. En fait, la position de Poutine est plus proche de
celle qu'ont eue, dans le passé, des formations comme la CDU de Konrad
Adenauer en Allemagne et les Tories de Harold MacMillan en Angleterre,
conservateurs européens classiques s'il en fut.
Poutine est souvent très mal entendu en Occident. Ses
déclarations publiques, destinées à une audience intérieure plutôt
qu'internationale ( ? NdT) sont perçues comme agressives, voire
chauvines. Mais les observateurs feraient bien de se rappeler qu'il est
un maître de judo, dont les mouvements sont calculés pour déstabiliser
l'adversaire. Si on le lit entre les lignes, Vladimir Poutine cherche le
mariage, pas l'isolement.
Le Président russe considère son pays comme faisant
partie d'une nouvelle alternative internationale, en union étroite avec
les autres nations du BRICS, pour mettre un frein aux agressions US là
où c'est possible. Poutine voit cela comme un chemin vers la stabilité.
Adenauer et MacMillan l'auraient parfaitement compris. Mais les
dirigeants européens actuels et les Nord-Américains ne le comprennent
pas. Enivrés par la domination dont ils ont joui ces vingt dernières
années, l'idée que l'ordre mondial est en train de changer à toute
allure n'a pas encore fait tilt dans leurs têtes.
La réaction des États-Unis à cette nouvelle réalité constituera une
question de vie ou de mort. Presque à la manière d'un dessin animé,
Washington se cramponne désespérément à sa NSA, à ses
gouvernements-fantômes, à son Quatrième Pouvoir pathétique à force de
nullité, à sa puissance militaire dilapidée et à son terrifiant
chauvinisme rampant. Son infantilisme a besoin d'un « méchant ». En une
dizaine d'années ce traître de mélodrame est passé de Ben Laden, de
Saddam Hussein et des « Frites de la Liberté » à la russophobie. Si la
classe dirigeante américaine ne change pas de comportement, la
transition vers un monde multipolaire pourrait bien ne pas se passer en
douceur. C'est une crainte sérieuse, et elle est fondée.
Note :
[ On n'a pas l'habitude, ici, de corriger les gens qu'on publie,
mais, quand Bryan MacDonald assimile Vladimir Poutine à Harold
MacMillan, il oublie que ce dernier a gouverné un empire colonial, et
même un des pires qui soient, ce qui n'est pas, jusqu'à présent, le cas
de Poutine et que rien, dans son parcours ne laisse présager. ] note du
traducteur.
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